Découverte J-music : ReN, le « fils de » qui s’est fait un prénom
Ceux d’entre vous qui suivent un minimum l’actualité musicale nippone n’ont pas pu passer en...
Critiques et découvertes Musique / Musique
par Kevin Petrement · Published 5 février 2018 · Last modified 6 février 2018
Ceux d’entre vous qui suivent un minimum l’actualité musicale nippone n’ont pas pu passer en...
La production de musique au Japon a connu, en 2016, une légère baisse de 1% à 298.5 milliards de yens en valeur, tandis que le chiffre d’affaires global bénéficiait lui d’une très légère hausse de 0.4% à 230.6 milliards de yens. Mais cette apparente stabilité cache en réalité une profonde recomposition du marché musical nippon, amorcée l’année passée…
Depuis ses débuts, VAMPS n’a jamais caché son ambition de conquérir des terres plus larges que le Japon. Après deux albums couronnés de succès, un best-of pour l’international qui n’apportait pas grand chose (si ce n’est des paroles traduites en anglais pour l’occasion) et un troisième album très attendu, mais plus que décevant, on ne sait plus vraiment par quel bout prendre VAMPS. C’est dans ce contexte un peu nébuleux qu’est sorti très discrètement en juillet dernier le MTV Unplugged: VAMPS.
Le marché musical japonais connaît – certes, tardivement – une mutation similaire aux marchés des pays occidentaux, avec une hausse considérable du recours aux services de streaming. Cependant, le japon conserve sa spécificité avec des supports physiques toujours très appréciés du public, selon une étude menée par la RIAJ.