Après OZU, vous reprendrez bien un peu de MIZOGUCHI en combo DVD/BR !
Redécouvrez 8 chefs-d’œuvre du cinéma japonais signés Mizoguchi avec la sortie du coffret collector DVD/Blu-Ray « Kenji Mizoguchi en 8 films » !
Étiqueté : Classique cinéma
Coffret OZU en 20 films par Carlotta Films ou la bonne surprise de Noël !
Le grand maître Yasujirō OZU a cette année droit à un coffret DVD/BR regroupant pas loin de 20 de ses chefs-d’œuvre en noir et blanc. JDJ vous en dit plus sur ce bel objet !
![Une Rétrospective Kenji Mizoguchi en 8 films [Capricci]](https://www.journaldujapon.com/wp-content/uploads/2019/07/65505544_1753998954702776_3971349936972234752_o-520x245.jpg)
Rétrospective Kenji MIZOGUCHI en 8 films : une restauration à ne pas rater cet été !
MIZOGUCHI : Huit films à en version 4K dans les salles de cinéma cet été, à partir du 31 juillet pour (re)découvrir un grand nom du cinéma japonais !
L’héritage des 500 000 : aventures au passé
L’héritage des 500 000, l’histoire d’une chasse au trésor, un voyage initiatique et une plongée dans ce que l’homme a de meilleur et de pire.
101 cinéastes japonais couchés sur papier
Carlotta films complète son dictionnaire sur l’âge d’or du cinéma japonais en 101 cinéastes par un second opus consacré aux acteurs de cette prolifique période de la production cinématographique que fut celle de 1935 à 1975. Journal du Japon revient sur ces deux volumes littéraires sur le cinéma japonais le temps d ‘un week-end spécial avec, dans un premier temps, la critique du volume 1 et de ses 101 portraits de cinéastes.
Ishiro Honda : Humanisme monstre. Entretien avec Fabien Mauro
Rédacteur au sein de nombreuses revues, Fabien MAURO est également l’auteur du 1er livre francophone sur Ishiro HONDA, auteur majeur de la Science-Fiction nippone et créateur de la saga Godzilla. Rencontre.
Midi les Ozu!
Cet été nous offre une rétrospective de l’œuvre d’un des plus grands cinéastes japonais de tous les temps. Alors : osez OZU sur grand écran !
Une Page Folle, le premier âge d’or du cinéma japonais
Teinosuke KINUGASA, la première Palme d’or japonaise de l’histoire, est rarement cité dans la liste des cinéastes nippons importants. A tort.
