Auteur : Laurent Estornel
Face à la menace des occidentaux le Japon n’a pas d’autres choix que de se moderniser rapidement s’il ne veux pas finir comme la Chine complètement morcelée par les différents Empires occidentaux.
1603, Tokugawa Ieyasu devient Shôgun et déplace la capitale à Edo, actuelle Tôkyô ce qui donne son nom à une période de plus de deux cents ans (1603-1868), l’ère Edo. Époque de paix durant laquelle la culture japonaise se développe malgré une société complètement verrouillée.
Les ninjas sont aujourd’hui présents partout dans la culture populaire japonaise et c’est aujourd’hui via une vision fantasmée et très éloignée de la réalité des faits qui est connue. Ainsi nous vous invitons à redécouvrir ces « guerriers de l’ombre » tels qu’ils étaient réellement.
L’histoire du Japon durant la période Sengoku est fortement lié à un homme, Oda Nobunaga. Pourtant rien ne prédestinait celui-ci à avoir une telle influence sur le pays…
Auteur majeure du Manga Shôjo, Harumo Sanazaki est une mangaka extrêmement curieuse dont les œuvres couvrent tous les sujets qu’ils soient purement japonais comme Abe No Seimei ou occidentaux comme avec son adaptation en manga du roman de Gaston Leroux, Le Fantôme de l’opéra qui viens de paraître en France et nous l’avons rencontré au cours de la Japan Expo Sud pour qu’elle nous en parle
Après de nouvelles guerres et une courte restauration impériale, le Japon est à nouveau aux mains des clans guerriers, cette fois-ci sous le règne du Clan Ashikaga qui établit le siège de son pouvoir dans le quartier de Muromachi à Kyôto, instaurant ainsi l’ère Muromachi.
Artiste majeur de l’animation japonaise depuis cinquante ans, il est entré très jeune, à seulement quinze ans, dans l’animation via Tôei Animation. Il a travaillé sur de nombreuses œuvres qui ont marqués les débuts des dessins animés en France comme Cobra ou l’île au trésors. Nous l’avons rencontré au cours de la Japan Expo Sud pour qu’il nous parle de sa carrière et de l’animation japonaise.
La période de Heian se ferme alors que le pouvoir n’est plus dans la main ni de l’Empereur, ni des nobles de la cour mais dans celles des guerriers et plus précisément du clan Minamoto et de leurs alliés, les Hôjô. La capitale ayant été déplacée à Kamakura, créant ainsi le Bakufu, ou Shôgunat de Kamakura.