[Attentes Mangas] En mars, les nouveaux mangas ont-ils la classe ?

La froideur hivernale persiste en cette fin février : alors pourquoi insister ? Chez soi, bien au chaud, il vaut mieux rester ! Vous l’aurez compris, voilà encore une bonne excuse pour voir quelles nouveautés manga pointent le bout de leur nez en mars 2025.

Le mois de mars, qui avait été assez calme en 2024 avec 250 titres et 40 nouveautés, est un peu plus dynamique en 2025, alors que la tendance était jusqu’ici à la baisse : 40 nouveautés à nouveau, mais on lorgne plutôt vers les 270 nouveaux tomes au global. Aurait-on atteint un plancher en termes de publications ? À voir au second trimestre !

En tout cas, cela représente tout de même une masse de sorties impossible à suivre. Pour vous aider à faire le tri dans les rayonnages, l’équipe de Journal du Japon vous propose son habituelle sélection de nouveautés, parmi celles qui ont retenu son attention. Au programme : un gros focus sur les tomes 1 pour savoir ce qu’il faut retenir, et une petite dose de webtoon !

Mars 2025 : les nouveautés mangas

Chi – Une vie de chat en France chez Glénat

Chi – Une vie de chat en France de Konami Kanata revient chez Glénat le 5 mars 2025 et on est ravi ! Le petit chat et sa famille nous a enchantés à travers 12 volumes, à vivre de multiples aventures attendrissantes. À la fin de la série Chi une vie de chat, le chaton et sa famille s’installent en France. Mais que s’est-il passé après ?

Avec des propos universels, des illustrations adorables et un ton qui plaira aux parents prescripteurs et à leurs enfants, Chi – Une vie de chat fait l’unanimité. Hommes, femmes, enfants, ados, adultes, amateurs de manga ou néophytes complets, ce manga convient à tous et toutes. La série a su conquérir le cœur des lecteurs et lectrices grâce à son univers simple mais riche en émotions et personnages variés. Chi, le petit chaton adorable, est un personnage auquel on s’attache rapidement, ainsi que sa famille. Ses aventures en France promettent de nouvelles découvertes et de beaux moments de tendresse. L’œuvre originale a eu la capacité de traiter des thèmes universels tels que la famille, l’amitié et l’adaptation à un nouvel environnement. Ces sujets résonnent chez un large public, ce qui permet de créer un lien entre plusieurs générations. Les dessins doux et charmants magnifient l’innocence de Chi et de ses compagnons.

Cette suite suscite donc de l’excitation car elle permet de voir l’évolution des personnages que l’on connaît et qu’on aime déjà, tout en offrant de nouveaux horizons avec la France comme toile de fond. L’occasion de découvrir notre pays sous un autre regard via Konami Kanata. Encore un manga accessible aux amateurs du genre et à celles et ceux qui ne sont pas familiers, grâce à son ton léger et accessible.

Chi incarne un véritable phénomène de société et son retour est un événement attendu par ses fans qui souhaitent revivre les aventures de ce chaton si attachant dans un contexte inédit. 

Chi – Une vie de chat en France de Konami Kanata, chez Glénat à 9,50 euros.

Dogsred – Éditions Ki-oon

Ce titre nous l’attendons, en premier lieu parce qu’il est signé de Satoru Noda, le mangaka derrière l’ovni qu’a été Golden Kamui pendant plusieurs années et tout ce qu’il a pu nous apprendre, en nous divertissant comme personne, sur la culture Aïnou. Et cette fois-ci nous allons encore apprendre de nouvelles choses… à propos du Hockey sur glace. Le tout se déroulant encore au nord du Japon, dans la province d’Hokkaido.

Mais laissez-nous vous planter le décor, avec le résumé des éditions Ki-oon, qui publie avec joie le nouveau manga de cet auteur : » jeune espoir national du patinage artistique, Rou Shirakawa gâche sa carrière quand il est pris d’un accès de violence inexplicable devant les caméras du Japon entier. Il vient pourtant de remporter un tournoi décisif grâce au programme préparé par sa mère et entraîneuse, décédée quelque temps plus tôt dans un accident... »

La disgrâce s’ajoute au deuil et l’orphelin n’a d’autre choix que de s’installer chez son grand-père, à Hokkaido, dans le nord du pays. Sur ces terres gelées, le hockey sur glace règne en maître et les membres de l’équipe du lycée local sont des stars. Pour un Rou obsédé par l’élégance, ce sport n’est qu’une lutte barbare… mais il pourrait aussi être sa dernière chance de rechausser les patins pour atteindre de nouveaux sommets !

On s’attend à nouveau à de l’action, du spectacle et sans doute du spectaculaire avec ce sport où parle la force brute, une force qui anime toujours les personnages de Noda, qui savent être de véritables fauves ou encore des ours impitoyables lorsqu’ils s’y mettent. On a donc hâte de voir ce choc sur la glace. On peut aussi compter sur pas mal d’humour décalé, autre talent de l’auteur. Dogsred compte pour le moment 4 tomes au Japon, où il est prépublié dans le magazine Seinen Young Jump de la Shueisha, un magazine hebdomadaire assez prestigieux que vous connaissez peut-être grâce à Kingdom, Oshi no ko, Ascension, Real ou encore Tokyo Ghoul. En tout cas le premier tome nous attend le 6 mars prochain à 7.95 euros. (Paul)

Ils étaient dix – Paquet

Les grands classiques de la littérature ne disparaissent jamais réellement de la mémoire des lecteurs. Il arrive parfois que des scènes nous reviennent en tête sans crier gare. Bon nombre sont dans ce cas comme Les 3 Mousquetaires ou Le Comte de Monté Cristo. Ils sont d’ailleurs régulièrement remis en avant, réadapté, réédité, etc. Mais il en va de même avec la littérature anglaise. Ainsi, les différents écrits d’Arthur Conan Doyle ou bien d’Agatha Christie ne sont pas non plus oubliés. Et aujourd’hui c’est bien de la nouvelle adaptation d’Ils étaient dix dont il est question.

Publié pour la première fois en 2024 dans les pages du HAYAComic, Ils étaient dix sauce manga, dessiné par Aya Nikaido, nous transporte une nouvelle fois sur l’île du Nègre, non loin des côtes anglaises, aux côtés de Vera Claythorne. Cette dernière a été engagée comme secrétaire par les Owen mais son séjour sur l’île risque d’être mouvementé… De un les Owen sont absents, de deux il y a beaucoup d’inconnus, et de trois les crimes pleuvent !

Ce thriller qui fait toujours parler de lui après 86 années d’existence revient donc sous format manga chez Paquet (maison d’édition suisse ayant déjà publié des adaptations en BD d’Hercule Poirot) et va permettre aux plus et moins jeunes de découvrir ou redécouvrir ce classique anglais dans une adaptation en 3 volumes. Le premier sortira le 19 mars prochain (8 €) tandis que le deuxième se retrouvera en librairie un mois plus tard. Si vous aussi vous voulez tenter de résoudre le mystère, vous savez ce qu’ils vous reste à faire ! (Andres)

Switch Family – Éditions Ki-oon

Les éditions Ki-oon continuent de nous gâter ce mois-ci, avec un titre au casting et un pitch assez amusant….

Le résumé, tout d’abord : Oki vivait un quotidien banal de petite racaille de lycée avant que sa mère Tsumugi prenne du jour au lendemain le contrôle de son corps ! Le plus étrange ? Elle est décédée dans un accident quand il était petit… mais, par miracle, son âme a fait un saut temporel et elle découvre à présent son fils adolescent.

Elle était loin d’imaginer qu’il serait du genre à faire fuir ses camarades sur son passage… Et lui ne se doutait pas que sa maman, adepte du karaté, en profiterait pour coller une raclée aux membres du gang du lycée, se mettant leur boss à dos ! Les retrouvailles ne sont pas de tout repos, mais mère et fils doivent bien coopérer pour trouver un moyen de réparer ce bug spatio-temporel…

On s’attend donc à des personnages hauts en couleur, des fortes têtes qui agissent sans doute avant de réfléchir mais qui ne sont pas pour autant de grands égoïstes, c’est juste qu’ils peinent à s’exprimer autrement, ou à maîtriser leurs émotions. Nous attendons de voir si les protagonistes sont aussi attachants qu’ils en ont l’air et on a hâte de découvrir cette famille inventée par… un couple de mangaka ! Et oui, nous retrouvons ici Marie Sasano au dessin, qui nous avait séduit, toute en « mignonitude » lorsqu’elle avait présenté son titre jeunesse en 2019, au Salon du Livre, qui s’intitulait Momo et le messager du Soleil. Nous voici donc déjà curieux de la voir nous parler de famille, d’adolescence et de gang de lycée. Sans compter que, comme nous le disions, elle est accompagné au scénario par son mari, Ryôsuke Tanno, ce qui nous rend vraiment très curieux du résultat.

Bref, vous l’aurez compris, on a hâte d’avoir le premier opus (à 7.95 €) dans nos mains… surtout qu’il s’agit d’une nouvelle création originale des éditions Ki-oon. Vivement le 20 mars, le jour de la sortie ! (Paul)

Crayon Shinchan – Mangetsu

« C’est lui ! Hey ! Shinchan ! Ce gamin vous donnera mal au crâne. C’est lui ! Hey ! Shinchan ! Méfiez-vous de lui quand il ricane. Il est mal élevé et plutôt grossier, difficile à supporter. Shinchan ! » Je pense que beaucoup de personnes se souviennent de ce générique, et pour les autres, voici un bref résumé. Shinchan était un show télévisé qui passait sur Fox Kids, une chaîne du câble au début des années 2000 et nous racontait les aventures/bêtises de Shinchan, un petit garçon mal élevé et grossier, oui c’est dans la chanson. Ce dessin animé est en fait l’adaptation d’un manga qui a été complété en 50 tomes ! Oui Crayon Shinchan est un véritable phénomène et la licence continue de vendre des produits dérivés encore aujourd’hui, la preuve avec le jeu sorti sur Switch il y a quelques mois.

Mais assez parlé de l’animé et revenons-en au manga de base. Ce dernier a été publié entre 1990 et 2010. Dessiné par feu Yoshito Usui, la BD nous expose les frasques de Shinnosuke « Shin » Nohara et le quotidien de sa famille. Ce seinen au contenu parfois particulier a souvent été jugé comme inadapté pour les enfants (normal ce n’est pas destiné à ces derniers de base) notamment la comédie autour du fait que Shin aime les jolies femmes alors qu’il n’a que 5 ans. Mais au-delà de ça, le manga parle surtout de l’importance de la famille et des amis, n’hésitant pas à traiter de sujets sombre comme la mort ou le deuil par exemple. Une œuvre bien plus complexe que son style cartoonesque ne le laisse présager.

Un véritable OVNI du manga qui est aujourd’hui publié en France chez Mangetsu. Cette deuxième édition (oui deuxième, la série ayant été commencé une fois chez J’ai lu, collection Sakka avant d’être stoppée prématurément en 2012) propose de recommencer de zéro ! Donc si la nostalgie vous guette ou si les bêtises de Shinchan vous attirent, rendez-vous dès le 5 mars chez le libraire pour retrouver le sale gosse au prix de 14,95 € ! (Andres)

Ochibi et ses amis – Collection Le renard Doré

On reste, en quelque sorte, au rayon jeunesse après Shinchan avec un nouveau manga dans la collection manga de l’École des loisirs, aka Le renard Doré, qui nous régale depuis son lancement avec de très beaux livres et de très belles histoires (dont on vous parle ici, là ou encore là). Quand en plus cette belle collection s’enrichit d’oeuvres de Moyoco Anno, cette artiste touche à tout du manga, de la mode et de multiples domaines artistiques en 35 ans de carrière, nous sommes complètement dans l’attente : take my money comment on dit !

Plus sérieusement, de quoi ça parle Ochibi et ses amis ? C’est l’histoire d’une petite bande d’amis animaux, publié entre 2008 et 2021 au Japon, sous la forme d’histoires courtes dans le Asahi Shinbun, un quotidien qui pourrait être comparé au journal Le Monde chez nous. On y suit les aventures de Ochibi, qui aime profiter de chaque instant que lui offre la vie. Avec ses amis Kézako et Croque-Miche, ils ne s’ennuient jamais ! C’est un plaisir de les suivre dans leurs aventures simples du quotidien, où tout devient prétexte à l’humour, à l’émerveillement et à la dégustation.

Vous l’aurez compris, le titre sent le feel good à plein nez, avec des petites histoires mignonnes à souhait dans un grand format et tout en couleur. Idéal pour la lecture du soir avec les enfants, juste avant de se coucher. Il y avait déjà Petit requin, chez le même éditeur, totalement validé par les enfants de la rédaction, alors on attend avec impatience de tester cette série, qui débutera pour 12 volumes le 12 mars prochain, au prix de 12.90 €. (Paul)

Yukasu au crépuscule – Le Lézard Noir

Personne (ou presque) n’a pu passer à côté du phénomène de la série La cantine de minuit de Yarô ABE édité en France chez le Lézard Noir. Chaque chapitre, pouvant être lu indépendamment l’un de l’autre, raconte une histoire de clients d’un restaurant un peu particulier, puisqu’en plus de n’être ouvert que la nuit, il propose de cuisiner n’importe quel plat. En mars, la maison d’édition Le Lézard Noir nous permettra de découvrir une autre série de ce même auteur…et qui pourra très certainement plaire aux fans de La cantine de minuit.

De quoi parle Yukasu au crépuscule ? Yukasu, 52 ans et ses difficultés à entretenir des relations amoureuses car il est  » incapable de surmonter le mur entre les hommes et les femmes » bien qu’il fasse de multiples rencontres qui pourrons nous amuser et nous attacher de plus en plus au personnage principal. A voir si ce sera, tout comme sa précédente série, un chapitre par rencontre ou une histoire qui se suivra!

Au Japon, seulement le premier tome est sorti aux éditions Gentôsha et sera disponible chez Le Lézard Noir dès le 12 mars prochain au prix de 14 €. (Noémie)

Golden Goal – Paquet

Les mangas de foot ont plutôt la cote par chez nous. Entre l’increvable Captain Tsubasa, le vibrant Ao Ashi Playmaker et Be Blues le petit dernier, les amoureux du ballon rond ont de quoi faire.

Alors pourquoi Golden Goal ? Parce que c’est une création originale proposée par Paquet. A mon sens, tout·e créateurice qui explore l’art du manga mérite qu’on lui accorde de l’attention. Et pour le coup ils sont deux. Si on a très peu d’informations sur Weijun Ni, qui réalise les dessins, Guillaume Main est un nom qui parlera à certain·es, car il est à l’origine de plusieurs courts métrages, dont certains ont été récompensés en festival. Je serai curieuse de savoir ce qui l’a poussé vers le manga.

De quoi parle Golden Goal ? De Naïm, un ado de 13 ans parti de son Maroc natal pour tenter les sélections d’entrée dans une équipe de foot en France. Mais à peine débarqué en Espagne, c’est la galère ; son frère disparaît et la mafia locale exige de l’apprenti footballeur qu’il transporte un colis illégal… Arrivé malgré tout à Charmy, Naïm découvre la loi du sport : beaucoup d’appelés pour peu d’élus. Et l’autre loi : ne faire confiance à personne.

C’est donc une double dose d’action qui nous attend, sur le terrain et au dehors. La couverture donne un aperçu du dynamisme qui pourrait transparaître dans les matchs. L’histoire elle, fait écho au destin de nombreux jeunes nés de l’autre côté de la Méditerranée et rêvant de gloire et de vie aisée grâce au foot. Beaucoup d’entre eux ne verront même pas l’ombre d’une pelouse malheureusement… Trompés par des agents véreux, certains vont surtout alimenter les gangs et autres trafics, quand ils ne disparaissent tout simplement pas en chemin. J’espère que Naïm connaîtra un destin différent.

Prévu pour sortir le 5 mars, le premier tome arrive avec un argument de poids : son prix. Paquet le propose à 3€. Le second tome est d’ores et déjà annoncé pour le 14 mai (Albine).

Comment en finir avec son ex – Akata

J’ai TELLEMENT de questions après avoir lu le résumé de ce manga qui célèbre le retour de Kyo Yoneshiro sur nos étagères. Encore une fois, Akata est à la manœuvre pour nous sortir un titre psychologiquement dérangeant. Et on est là pour ça.

Quand le réalisateur Kairo Ichimatsu est largué par l’amour de sa vie, sa carrière s’arrête. Incapable de produire quoi que ce soit, voila sept ans qu’il attend son retour… et la voilà, devant lui, avec une requête très spécifique. Elle veut un enfant de lui par insémination artificielle et qu’il filme sa maternité. Mais elle ne veut pas se remettre avec lui, elle veut juste ses spermatozoïdes.

Au premier abord, ça a l’air simple et on se permet de juger les personnages plutôt défavorablement concernant leurs choix de vies. Et puis… Ça trotte dans la tête. Qu’est ce qui nous échappe ? Qu’est ce qui s’est passé pendant 7 ans ? Kyo Yoneshiro a l’art des personnages complexes et tourmentés, et elle maîtrise le plot twist. Certainement, cette histoire de petits nageurs dans un pot en plastique est plus tarabiscotée qu’elle n’en a l’air.

Kyo Yoneshiro est une artiste bien entourée. Son manga a été prépublié dans le Big Comic Spirits aux côtés de Hirayasumi de Keigo Shinzo et de Du mouvement de la Terre de Uoto. Elle a aussi bénéficié des conseils de l’éditrice de Akane Torikai, autre star d’Akata avec Saturn Return. Le fait que Shûzô Oshimi (les Liens du sang) ait remarqué et apprécié son travail est également un bon indicateur de ce qui attend les lecteurices en terme de torture psychologique.

Comment en finir avec son ex comptera 8 tomes. Le premier, à 8.05 €, est prévu pour le 13 mars (Albine).

Item Légendaire – Michel Lafon

Et voici, comme vous l’attendiez certainement, la recommandation webtoon de Journal du Japon. Généralement, on a alors affaire à des titres édités par Kbooks, KBL, Pika Wavetoon et bien plus encore. Mais aujourd’hui point de cela, et nous nous tournons vers la nouvelle acquisition de chez Michel Lafon pour sa collection Sikku, à savoir Item légendaire.

Ce titre fait parti du contrat d’exclusivité signé entre la maison d’édition et la plateforme WEBTOON. Il s’agit donc de la version au format papier d’un webtoon de Jung Seon Yul et Hess actuellement en hiatus avec 107 épisodes. Mais de quoi ça parle ? Sommes-nous en présence d’un titre à la High School Mercenary ou Killer Peter déjà présents dans le catalogue de l’éditeur ? Non. En effet, Item Légendaire se rapprocherait davantage d’un Solo Leveling ou d’un Omniscient Reader’s Viewpoint édités par la concurrence et ayant une forte fanbase ainsi qu’un gros lectorat. Michel Laffon cherche donc avec son nouveau titre à s’imposer en grande pompe comme un éditeur sérieux et important du marché du webtoon papier.

Avoir connaissance de cela permet de facilement entrapercevoir l’intrigue générale d’Item légendaire. On y suit un jeune homme ayant éveillé, tout comme Jinwoo ou Dok-Ja, des capacités spéciales afin de protéger l’humanité contre des monstres. Mais là où Solo Leveling cherche à explorer la quête d’identité et la valorisation par le leveling de son héros, ou que la passion pour un webnovel permet à Dok-Ja de prévoir le futur, Jaehyun cherche à empêcher les dieux nordique de détruire l’humanité grâce à l’acquisition d’un mystérieux artefact légendaire. Le Ragnarök n’est pas encore arrivé ! En tout cas, Jaehyun ferra tout son possible pour l’empêcher bien que les divinités ne semblent pas prêtes à arrêter ce projet macabre.

Si vous aussi vous souhaiter aider notre héros contre la puissance céleste, armez-vous de votre meilleure carte de crédit pour acheter le tome 1 d’Item légendaire (16,95 €) disponible dès le 13 mars prochain ! (Andres)

Et voici que se termine cette nouvelle sélection. Pour mars, quelle est la série qui vous tente le plus ? En avez-vous remarqué d’autres ? N’hésitez pas à venir nous le dire en commentaires !