[Attentes Mangas] En février, contre le froid, vive les mangas !

La froideur hivernale de ce début d’année incite à rester bien au chaud chez soi et, donc, à ouvrir un bon manga. C’est donc l’occasion parfaite pour voir ce qu’il se fait de beau en sorties et en nouveautés manga en février 2025.

À l’image de l’année un peu plus clame que fut 2024 en terme de sortie (même si le calme en question est très relatif), février 2025 propose 44 nouveautés, contre plutôt 50 l’an dernier, ce qui est sensiblement la même chose mais le nombre total de sorties est en recul, de 350 environ en février 2024 à … 270 environ cette fois-ci !

Cela représente tout de même une masse de sorties impossible à suivre. Pour vous aider à faire le tri dans les rayonnages, l’équipe de Journal du Japon vous propose son habituelle sélection de nouveautés, parmi celles qui ont retenu son attention. Au programme : un gros focus sur les tomes 1 pour savoir ce qu’il faut retenir, et une petite dose de webtoon !

Février 2025 : les nouveautés mangas

Coliri Colore Creare- Ki-oon

Il fait froid, alors autant accueillir le retour d’une grande dame du manga en s’enroulant dans un plaid avec une boisson chaude à côté. Kozue Amano va nous raconter une nouvelle histoire dont elle a le secret, entre détente et onirisme.

Le village d’Onobori a une particularité. Il est situé sur une ile céleste, si haute que la moindre chute revient à un aller simple. C’est pourtant là que Nodoka s’installe pour trouver une petite fille, Aka, 4 ans et exploratrice en herbe. Elle n’a pas peur du vide ; elle aime découvrir et faire découvrir les endroits les plus insolites de son chez elle, quand elle n’est pas dans le moulin aménagé en café par son grand-père. Les maisons de la couverture font penser au jeu Townscrapper, mais elles étaient aménagées au ras de l’eau… Et il n’y avait pas cet énorme chat, d’où peut-il bien venir ?

Après Aria et Amanchu qui prenaient place au contact de l’eau, Amano choisit cette fois les cimes aériennes pour nous faire passer un moment agréable dans le plus pur style iyashike, une tranche de vie apaisante qui réchauffera votre cœur. Attendez-vous à des paysages grandioses et fouillés, du mystère et des frayeurs vite éloignées par des éclats de rire d’enfant.

En plus de Colori Colore Creare, Ki-oon va rééditer Aria, l’œuvre qui a lancé Kozue Amano, dans sa version Masterpiece précédemment parue en 2020. Vous aurez donc deux superbes séries sans vous faire plumer par les scalpeurs des sites de revente !

Comptant actuellement 5 tomes et toujours en cours de parution sur la plate forme en ligne du Comic Garden, Colori Colore Creare sortira le 6 février au prix de 7,95€. (Albine)

Kagurabachi – Éditions Kana

C’est un manga qui a d’abord fait beaucoup de bruit, dès son lancement au Japon.

C’est l’histoire de Chihiro, aspirant forgeron, qui travaille chaque jour aux côtés de son père. De nature taciturne, il est tout l’opposé de son paternel, un homme qui a toujours le mot pour rire, et qui est renommé pour avoir forgé six épées enchantées. Ils avaient tout pour vivre heureux… jusqu’au jour où le père de Chihiro est assassiné par des membres des Korogumi, une famille de Yakuza, liée à un étrange sorcier. Chihiro cherche désormais à se venger des assassins de son père à l’aide d’une septième épée enchantée, que ce dernier lui a légué avant de mourir..

Lancé le 19 septembre 2023 par l’éditeur Shueisha dans le célèbre Weekly Shōnen Jump, ce manga est signé Takeru Hokazono, un jeune mangaka qui venait alors de fêter ses 23 ans. À sa sortie, Kagurabachi voit sa côte de popularité grimper en flèche dans une hype irrationnelle qui grimpe en flèche sur internet et les réseaux sociaux : devant Spy × Family, Dragon Ball Super et Boruto dans le classement de popularité de Manga Plus, il finit par être décrit comme un héritier de One Piece, Naruto ou Bleach. Si le premier chapitre tient plutôt bien la route, avec un bon design et de l’action bien orchestré, il est évidemment trop court pour que la série bénéficie d’un tel succès. Mais l’éditeur appuie sur le champignon et, pour ses trois premiers volumes, la série a été recommandée par le mangaka Kōhei Horikoshi (My Hero Academia), puis le musicien Vaundy et finalement Masashi Kishimoto (Naruto, Boruto). Cela tombe bien, puisque Hokazano est un grand fan de Naruto et que c’est un peu ce manga qui lui a donné envie d’exercer le métier de mangaka.

Donc, pour le moment, il y a surtout de la communication (il y a même de la communication sur la communication chez l’éditeur français, Kana), et nous sommes vraiment curieux de lire ce premier tome, à 7.30€ qui arrive le 14 février prochain. Les tomes suivants sont prévus pour avril, juillet, aout et octobre, et nous vous en reparlerons à n’en pas douter, pour vous dire si la hype est méritée ou non ! (Paul)

Un été vers l’inconnu avec toi- Meian

C’est l’heure du yuri ! Et Meian va encore faire plaisir aux fans du genre avec une série aux accents aussi estivaux que doux-amers.

Qui, alors que la vie n’apporte pas les réponses aux questions pressantes de l’existence, n’a pas eu envie de tout plaquer pour aller vivre une vie de farniente sur une île ? C’est le plan que Haru et Hii échafaudent à la va-vite, exaspérées par l’incertitude de leur avenir et pleines du désir d’une vie épanouie. Dans leur cabanon en bord de plage, loin de la ville, elles pourront se construire loin des contraintes de la société… n’est ce pas ?

Dur dur la vie de jeunes adultes quand on ne vous tient plus la main pour vous monter la voie. Entre vie rêvée, découverte de soi et de l’autre, et la réalité d’un monde qui ne fait pas de cadeau, cet été promet un bon nombre de réalisation pour Haru et Hii. Il est à parier que bon nombre de lecteurices se reconnaîtront dans leur parcours.

Si Keyyan n’est pas encore connu·e sous nos latitudes, Comic Yuri Hime, le magazine où est prépublié Un été vers l’inconnu a été le berceau de nombre de titres yuri parus chez Taifu ou Meian comme Citrus ou I’m in love with the villainess.

Les trois tomes que compte la série sortiront en même temps, vous n’aurez donc pas à attendre pour lire la fin (la couverture du tome 3 donne un indice cela dit). Vous pourrez vous les procurer dès le 7 février séparément, ou dans un coffret rassemblant tous les livres au prix de 23,85€.(Albine)

Rhapsody in red – Delcourt / Tonkam

Qui dit Collection Moonlight, dit tout notre intérêt pour cette collection pleine de pépites manga sur l’adolescence ou la vie d’adulte, et la tristesse ou le mélancolie que ces périodes renferment parfois. Des titres qui ne sont pas pour autant dénués d’espoir ou de soleil. Dans ce seinen, on parle de musique. La musique en manga ce n’est pas si souvent, et cela donne de belles choses, comme Nodame Cantabile, Your Lie in april, Blue Giant ou B-side. Ici c’est de musique cathartique dont on nous parle… Des mélodies et surtout un piano qui vont permettre à Torao, un lycéen épris de justice, de pouvoir exprimer ses sentiments et ses émotions. Car Torao est profondément seul, il ne sait pas parler aux autres et il est même incapable de communiquer avec sa famille.

Sous la direction d’un dénommé Jiro, pianiste de génie, Torao va voir un nouveau monde qui s’ouvre alors à lui et la joie de se connecter aux autres à travers la pratique d’un instrument qui le transcende.

Le manga, qui compte pour le moment 4 itérations au Japon, est signé par Amidamuku, qui n’en est pas à sa première oeuvre mais qui ne s’est pas forcément fait remarquer en France. En effet, avez-vous déjà lu Meshinuma, Salarié Gourmet, ou Messiah’s Hammer ou encore Permettez que je boive votre sang ? Nous, non, et nous voilà donc curieux de découvrir cet auteur aux éditions Delcourt /Tonkam, et de voir ce qui se cache derrière cette couverture exaltée, le 19 février prochain, au prix de 8.5€. (Paul)

Hope you’re happy Lemon– Mana Books

Je ne sais pas chez vous, mais ici, à la rédaction de Journal du Japon, cela fait des semaiiiiiiines entièèèèères qu’il fait gris, froid, et qu’il pleut. Alors, nous avons envie de soleil, de fraicheur et de bonne humeur, jusque dans nos lectures. C’est alors que nous sommes tombés sur la couverture du nouveau titre des éditions Mana Books, qui a déjà un petit gout de printemps : Hope you’re happy, Lemon de Mizuki Kishikiwa. Ce visage en gros plan, tout souriant, c’est celui de Lemon. Pourtant, Lemon n’est pas vraiment une héroïne sympathique au premier abord. Pour Sunao, c’est même tout le contraire. Notre héros n’a en effet eu qu’une petite copine de toute sa vie, son amie d’enfance, Lemon, qui l’a quitté en disant le tromper avec trois autres garçons ! Le traumatisme est profond : trois ans après, il en fait encore des cauchemars !

Alors qu’il est enfin prêt à revivre une histoire d’amour, une rencontre inattendue avec son ex va tout chambouler. Le lendemain, à son grand désarroi, voilà qu’il se réveille… dans le corps de son ex ! Et elle dans le sien. De nouveau liés, ils sont obligés de collaborer pour cacher la permutation. Une lecture qui va sans aucun doute nous amuser : voilà une comédie romantique qui n’a pas l’air de prendre des gants avec la romance (non mais sérieux, 3 mecs quoi !), et qui possède un graphisme très soigné.

Le premier tome débarque le 6 février prochain, à 7.95€. Cinq tomes sont déjà publiés au Japon et prépublié dans le Shônen Jump+, un autre machine à hit des éditions Shueisha. On attend ça de pied ferme ! (Paul)

From Bureaucrat to Villainess – Meian

À force de voir des isekai partout, je suis devenue très difficile quant à leur contenu. Mais j’ai un terrible point faible. J’aime les histoires de méchantes, plus précisément, celles qui ont connu une réincarnation et vont rebattre les cartes pour échapper à la mort. J’adore ça.

Mais même si vous mélangez un isekai et une vilaine, vous obtenez un mélange un peu classique quand même… alors on va pimenter les choses et ajouter Kenzaburô Tondabayashi, un quinquagénaire, père de famille et gratte-papier, qui a rencontré Truck-kun et se réincarne dans la peau de Grace Auvergne, fille de duc et méchante attitrée du dernier otome game que sa fille a joué. Et méchante, elle l’est.

Or, ce n’est pas le cas de Kenzaburô. Certes il comprend dans quoi il a été embarqué, mais ne maitrise pas les arcanes du jeu. De plus, c’est un homme foncièrement bon et droit. Incapable de reproduire le caractère insupportable de Grace, il va devoir s’adapter et quitte à vivre dans ce jeu, il va le faire selon son propre code de vie !

J’ai hésité au début car un homme d’âge mûr dans le corps d’une adolescente plutôt mignonne… disons que j’ai lu assez de mangas pour savoir comment ça peut finir. Mais, l’anime en cours de diffusion sur ADN m’a rassurée. Rien de déplacé à l’horizon, seulement une comédie très rythmée, des codes détournés dans la bonne humeur, et des relations familiales tissées au delà du jeu.

From Bureaucrat to villainess s’annonce donc comme un manga léger. Et contrairement à ce que lasse supposer le ttre, il ne s’agit pas de l’adaptation d’un light novel, mais d’un travail original de Michiro Ueyama paru dans la revue seinen Young King Ours depuis 2020.

Le premier tome d’une série qui en compte pour le moment sept sortira le 26 février, au prix de 6.95€ (Albine)

La Servante de l’empereur – Ki-oon

Comment changer de vie ? En épousant l’empereur, en voilà une bonne idée ! Sauf qu’il s’agit d’un enfant… Eh bien on fait tout pour ne pas l’épouser ! Voilà la décision que prend Linfa lorsque son père l’oblige à se rendre au palais impérial afin de s’élever socialement. Heureusement pour la jeune fille, elle fait la rencontre avec le régent Soren qui l’aide : non pas à être l’épouse mais bien la gouvernante du jeune Empereur. Une bonne position sociale des plus éthiques ! Commence alors sa nouvelle vie au palais ainsi que sa nouvelle mission : aider l’empereur de 5 ans à grandir.

Voilà le synopsis de la nouvelle romance de cour signée par pas moins de trois personnes : Ichina Hiiragi (scénario), Aya Shouoto (chara-design) et Haruki Yoshimura (dessin). On nous plonge dans des intrigues au palais impérial avec de nombreuses familles de haut rang qui cherchent des pions se rapprocher voire manipuler un jeune enfant. C’est tellement machiavélique que personne dans la vraie vie n’oserait faire cela n’est-ce pas ? Si malheureusement, plein de monde le ferait. Il est donc intéressant de voir comme La Servante de l’empereur va traiter ce sujet socio-politique toujours d’actualité.

Et si, vous aussi, vous êtes intéressé par la vie de cour, les commérages, les complots ou les amours entre personnes de haut rang, ne manquez pas la sortie du nouveau manga des éditions Ki-oon qui sortira le 20 février prochain au prix de 7,95 €. (Andres)

Remember Me – La magie de l’amour – Akata

Remember Me – La magie de l’amour est l’adaptation manga du light novel écrit par Eiko Mutsuhana. L’une des grandes qualités de cette transposition papier c’est la qualité des dessins de Gin Shirakawa, surpassant le chara design original des Yugiri Aika. Et si les illustrations des couvertures accrochent indubitablement le regard, l’intérieur ne laisse pas indifférent. Si visuellement c’est sublime, le scénario est tout aussi satisfaisant.

Pour Oriana, étudiante à l’académie de magie de Lagen, tout semblait aller pour le mieux. Mais à quelques mois de la cérémonie de remise des diplômes, elle meurt aux côtés de Vincent, son petit ami, dans des circonstances inexpliquées… Elle se réveille alors aussitôt dans sa chambre d’enfant, âgée de sept ans, et avec tous les souvenirs de sa vie passée.
S’est-elle réincarnée ? A-t-elle remonté le temps ? Sa seule certitude, c’est qu’elle a hâte de grandir pour retrouver son bien-aimé. Mais le jour de son arrivée à l’académie de Lagen, Vincent l’a totalement oubliée… Pourra-t-elle reconquérir son coeur ? Et surtout, pourra-t-elle le sauver d’une mort annoncée ?

La série est un gros succès au Japon avec déjà cinq tomes au compteur. Le mélange entre fantasy, romance et complot fonctionne parfaitement. Oriana est une jeune fille qui ne se laisse pas faire et qui compte bien reconquérir son petit ami, mais aussi comprendre pourquoi, ce soir-là, ils sont morts tous les deux. C’est toujours agréable de suivre les aventures d’un personnage fort et attachant. J’attendais ce titre avec impatience en France, et je ne peux que vous le recommander chaudement.

Le premier tome de Remember Me – La magie de l’amour sort en France le 13 février chez Akata. (Tatiana)

Le Pacte millénaire – Komikku

Le Pacte millénaire est un manga de Chizu Kamikou qu’on a déjà croisé au dessin dans le manga de Matsuoka Keisuke : Q Mysteries (Kana). Elle nous revient avec une série de fantasy dont elle écrit aussi le scénario. Je n’ai jamais entendu parler de ce titre, mais le communiqué de presse et l’extrait que j’ai pu lire en japonais, m’ont largement convaincu de son intérêt.

Après la mort de sa grand-mère, sa seule parente, la belle Mellia est recueillie par la maison Jidor, dont le métier est en lien avec « la matière féerique ». Jugée incompétente car incapable de se servir de la magie, la jeune fille vit sans manger à sa faim et opprimée. Mais alors qu’elle s’est résignée, elle croise Douglas, un des sept chevaliers de la garde royale, qui devine en elle son véritable potentiel. Leur rencontre apportera-t-elle la prospérité ou la destruction du royaume magique d’Almheim ?
Un voile se lève sur une histoire miraculeuse datant de plus de mille ans.

Le Pacte millénaire nous promet une belle aventure avec une héroïne qui doit dépasser ses traumatismes d’enfance pour accomplir son destin. Le trait de la mangaka est joli, mais sans trop de fioritures. La promesse d’un récit plus sombre et plus adulte attise ma curiosité. Parmi la flopée de titres qui nous tombent dessus chaque semaine, celui-ci peut sans doute sortir du lot.

Le premier tome de cette nouvelle série, toujours en cours de publication au Japon, sort le 6 février chez Komikku. (Tatiana)

La couche est pleine– Akata

Nous ne présentons plus la mangaka Akiko HIGASHIMURA, dont le portrait a déjà été réalisé sur notre site. Autrice débordant d’humour et d’auto dérision, elle a déjà écrit plusieurs séries autobiographiques, notamment trait pour trait aussi édité chez Akata, où elle raconte sa jeunesse où elle ambitionnait déjà de dessiner des mangas, et de sa relation particulièrement touchante avec son professeur de dessin qui l’a accompagnée durant de nombreuses années.

En février, nous avons hâte d’en savoir plus sur un autre sujet qui prend une bonne partie de ses journées en plus de ses mangas: sa vie de mère célibataire et des premières années de son fils qu’elle a du élever seule tout en continuant de travailler avec acharnement. Ici nous pouvons imaginer l’envers du décor dès la couverture et la traduction française: Gotchan, le bébé, assis sur un fauteuil ( un trône ?) en couches et un petit clin d’oeil à l’expression  » la coupe est pleine ». Nous l’avons donc compris: HIGASHIMURA est sur le point de déborder… et nous lecteurs et lectrices, prendront un malin plaisir à rire de ses (mes)aventures!

Le premier tome de cette série prévue en quatre volumes sortira le 6 février chez Akata. ( Noémie)

Bonus : vous reprendrez bien un peu de Corée ?

I don’t trust my twin – Kotoon

La famille est souvent vue comme quelque chose de sacré, d’immuable, faite de personnes qui vous aiment et vous chérissent. Mais ce n’est malheureusement pas toujours le cas et l’héroïne de I don’t trust my twin va en faire les frais. En effet, cette dernière, Laurencia, croyait aveuglément en sa sœur ainsi qu’à son propre fiancé. Mais ils ont tous deux choisi de la trahir et de l’abandonner. Perdue et désabusée, elle finit par traverser une mystérieuse porte qui la fait voyager dans le temps. Voilà l’occasion rêver pour changer son destin et se venger des deux personnes en qui elle avait le plus confiance. Elle monte alors un stratagème avec le duc Verdian et en échange d’une promesse de mariage il devient son allier… Mais attention à ne pas refaire certaines erreur !

Le synopsis de I don’t trust my twin explore des sujets sensibles comme la trahison et la vengeance. GWAT a adapté le roman de Garamdal et nous propose sa vision de l’histoire tout en retranscrivant les émotions complexes de son héroïne torturée par cette trahison inadmissible des personnes à qui elle tenait tant. Laurencia la gentille est donc devenue Laurencia la vengeresse, la villainess dans un sens de sa propre histoire. Peut-êre que de se rapprocher de ce duc Verdian va l’aider à guérir son cœur et de pouvoir faire confiance et aimer de nouveau ?

Si vous aussi, vous êtes intéressé par la vengeance d’une jeune femme humiliée, ne manquez pas le nouveau manwha des éditions Kotoon qui sortira le 20 février prochain au prix de 14,95 €. (Andres)

Pour février, quelle est la série qui vous tente le plus ? En avez-vous remarqué d’autres ? N’hésitez pas à venir nous le dire en commentaires !