Gaming Memories #52 – Les souvenirs de l’équipe, deuxième partie
Bienvenue dans ce Gaming Memories de décembre 2022, dans lequel nous allons laisser la parole aux membres de l’équipe pour la seconde fois, pour une nouvelle fournée de souvenirs rétro express !
Billy Hatcher and the Giant Egg
Édite par SEGA, sorti le 31 octobre 2003 sur Gamecube, le 31 mars 2006 sur PC (souvenir d’Andres)
Héros apparaissant dans certains jeux de SEGA comme Sonic Riders : Zero Gravity, le jeune garçon a eu droit à sa propre aventure en 2003 avec Billy Hatcher and the Giant Egg. Ce jeu de plateforme en 3D nous fait jouer Billy, le super-héros poulet qui doit sauver le Pays du Matin de l’invasion des corbeaux qui l’on plongé dans la Nuit éternelle. Oui oui, vous lisez bien, un garçon en costume de poulet doit sauver son monde d’oiseaux souvent liés au mal et à la magie noire.
Invoqué par Menie-Funie, le Dieu des Poulets himself, Billy arrive tout d’abord au Village de la Fôret, le premier des 7 mondes qui composent le jeu et va devoir repousser les forces du mal invoquées par Corbeau Noir et ses sbires. Pour ce faire, Billy doit revêtir un costume de poulet légendaire qui lui donne les pleins pouvoirs sur les œufs. Oui les œufs. En effet, une fois porté par notre jeune ami, le costume de « super héros gallinacé » permet à son porteur d’utiliser les œufs dispersés un peu partout dans les niveaux, de les faire rouler pour écraser les ennemis ou de les nourrir de fruits présents en grand nombre sur le parcours, de les lancer, de les poser mais surtout de les faire éclore à l’aide du « cocorico ».
Chaque œuf selon sa couleur et ses motifs permet de débloquer des accessoires ou des familiers qui faciliteront l’exploration des différents niveaux du jeu et qui donne un aspect collection qui pourra ravir les plus déterminés, certains œufs étant extrêmement rares et difficiles à faire éclore. C’est notamment le cas pour les sages poulets prisonniers d’œufs en or qui se cassent à la moindre attaque des ennemis corbeaux. Leur libération bien que compliquée est essentielle car ce sont eux qui, avec leur « cocorico » spécial, font apparaitre le Jour sur les mondes.
Et non les oiseaux de la nuit ne sont pas uniquement des volatiles mais bien ici des monstres qui attaqueront Billy pour l’empêcher de poursuivre sa quête, notamment les boss corbeaux qui ont tous un design très varié. Sauf les yeux ronds et vides et un sourire forcé et malaisant propre à tous les ennemis du jeu.
Parler du but c’est bien, des ennemis aussi, mais qu’en est-il du gameplay ? Eh bien, celui-ci est plutôt facile à prendre en main. Une fois le costume enfilé, il suffit de s’approcher des œufs pour commencer les phases de plateformes et d’énigmes qui amènent forcément à la fin du niveau. Poussée et combats d’œufs, les sauts et les attaques sont assez simples à faire. Attention toutefois à certains passages qui vont demander une certaine dextérité, notamment les passages de glissade sur pentes ou rails.
Malgré ces quelques aspects qui peuvent faire criser, Billy Hatcher and the Giant Egg est un excellent jeu de plateforme qui peut plaire à petits et grands. Un véritable coup de cœur plein d’humour et de bonne humeur, de quoi donner du baume au cœur.
Le Roi Lion
Sorti sur Mega Drive et Super Nintendo en 1994, développé par Westwood (souvenir de Charlène)
Attention, jeu Disney rétro en approche avec le fameux jeu Le Roi Lion sorti sur Mega Drive et Super Nintendo en 1994 ! Fan et afficionados de la fameuse marque américaine, vous n’êtes sûrement pas passé à côté de ce jeu à sa sortie, tout comme les autres jeux produits par SEGA pour le compte de Disney, dont nous vous parlions ici. Ici le jeu a été réalisé grâce à Virgin Interactive et Westwood Studio pour ces deux versions 16 Bits. C’est un jeu de plateforme qui suit à la perfection le film Disney. Entendre par là que vous débutez le jeu avec un Simba enfant, vous allez vivre avec lui la mort de son père, et surtout vous allez avancer dans le jeu avec lui-même qui grandit au fil des niveaux. En somme, le jeu vous propose de vivre le film via des tableaux qui en reprennent des moments spécifiques. Il y a donc toute une partie avec la découverte des animaux de la savane, une course folle pour échapper aux gnous lancés à ses trousses pour coincer son père, le moment où Simba revient et affronte les hyènes, et le combat avec son oncle Scar ! Bref, vous reviviez le film à travers le jeu en 16 bits ! Le point non négligeable était la colorimétrie fidèle, avec des couleurs réellement proches du film et de la savane : mention spéciale aux couchers de soleil très bien représentés. De plus, les mimiques de Simba que vous contrôlez sont vraiment réalistes et fidèles à ce qu’un lion pourrait faire : dans le mouvement de la patte, dans le mouvement d’agilité quand vous sautez d’un endroit à l’autre, et les autres animaux croisés ont ce côté suffisamment cartoon pour s’y croire. Un jeu en somme familial, grand public, qui permet de renouer avec ses souvenirs d’enfance, et avec une belle fluidité pour l’époque !
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Pokémon Version Bleue
Sorti sur Game Boy le 8 octobre 1999 , développé par Game Freak (souvenir d’Antoine)
Alors que l’ouragan Pokémon venait de déferler en France, faisant rêver tous les kids de mon âge dans les cours de récré, une autre tempête s’apprête à ravager le pays : nous sommes en décembre, deux mois après la sortie du jeu, et bien entendu, je le voulais absolument pour Noël. Ce que le vieux monsieur en rouge m’a apporté, faisant un nouvel heureux. Cette année-là, les adultes, en revanche, font un peu la grimace… une tempête de grande ampleur ravage tout sur son passage dans l’hexagone.
A cette époque, je vivais dans une jolie maison à la campagne. Jolie mais qui a bien mal vécu cette tempête. Plus d’électricité, plus d’eau, des trous dans le plafond qui laisse des gouttes s’écouler inexorablement dans des casseroles mises ça et là pour ne pas tremper le sol. C’est un peu la panique, la commune distribue des bouteilles d’eau pour pallier au réseau qui ne fonctionne plus… mais je n’en ai RIEN A FAIRE ! J’ai mon GameBoy, des piles, et le premier RPG de toute ma vie, et quel RPG !
Pokémon Version Bleue est une claque monumentale quand on a cet âge. C’est divertissant, dynamique, entrainant, passionnant, on se prend d’affection pour ses bestioles favorites (ah, ce que j’étais fier de toi, mon Tortank !), on voyageait, on tentait de toutes les attraper et les faire évoluer jusqu’à être le Maître absolu ! Le monde traversé était immense, le challenge ni trop difficile, ni trop facile mais ardu vu le nombre de bestioles à attraper (139 en commun pour chaque version et le reste exclusif).
Pokémon Version Or est ma version favorite de toute la série, mais cette première mouture est celle qui m’a le plus marqué. Le jeu n’est pas parfait, un peu mystérieux (notamment à cause de quelques détails étranges dans son écriture et aussi des bugs par-ci par-là qui alimentaient les discussions et donnaient naissance à des magazines champignon pour faire augmenter les rumeurs idiotes), mais c’est la première pierre d’un édifice vidéoludique… monstrueux !
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Phoenix Wright – Ace Attorney
Édite par CAPCOM, sorti le 31 mars 2006 sur Nintendo DS (souvenir d’Andres)
La rédaction continue de vous présenter ses coups de cœurs vidéoludiques. Après avoir vu ensemble les périples de Billy Hatcher, passons à présent à un autre style très en vogue : le Visual Novel parfois appelé jeu textuel. Pour résumer très brièvement, il s’agit d’un style de jeu vidéo qui se concentre beaucoup sur du texte, un récit auquel le joueur prend part en choisissant les réponses, en prenant les décisions du personnage qu’il incarne.
Et quelle licence est aujourd’hui très connue pour ce gameplay ? Amour Sucré… non. Odyssian Blaze ? Non plus. Higurashi no Naku Koro Ni ? Oui mais non. Bon, on se concentre, c’est dans le titre de notre sélection : Phoenix Wright – Ace Attorney. Une licence qui a commencé avec le premier opus sorti initialement au Japon en 2001 sur GBA avant de ressortir à l’internationale sur NintendoDS. On y incarne le bleu Phoenix Wright, un tout jeune diplômé du barreau qui travaille chez sa mentor, Mia Fey, une avocate de la défense assez renommée. Le joueur va l’accompagner durant toutes ses aventures et tous les procès auquel il va participer.
Ainsi, en plus d’être un visual novel, Phoenix Wright est aussi un jeu d’enquête avec une pointe de point’n’click qui rend le joueur vraiment actif durant les phases de recherches et d’interrogatoire. Chercher des indices, identifier les suspects, présenter des preuves, trouver une logique dans les faits énoncés, des contradictions, tout une succession d’événements qui ne pourront conclure qu’au verdict en faveur du client. Car oui, généralement, du moins dans le premier opus qui nous concerne aujourd’hui, on connaît le criminel dès le début de l’épisode. On sait qui cherche à nuire à notre innocent client et on doit le prouver devant le tribunal.
Revenons-en rapidement aux personnages puisque le gameplay est finalement quelque peu oublié pour laisser suffisamment de place à l’histoire développée sur plusieurs épisodes voire plusieurs jeux. Ainsi, mis à part Phoenix, le héros, reconnaissable à ses cheveux en pics de hérisson et à son costard bleu, le jeune avocat de la défense prêt à aider son prochain et à crier « Objection » ou « Prends–ça » à tout bout de champ lors des procès, il y a plusieurs autres personnages tous hauts en couleurs. Ils ont tous leurs charmes et certains comme Mia Fey, Maya ou Benjamin Hunter et d’autres auront un rôle plus important dans l’histoire, histoire qui permettra à notre jeune bleu de se faire une place à la cour et devenir un avocat légendaire et de renom.
Concernant le découpage de l’histoire justement, cette dernière est divisée en plusieurs épisodes, puis volte-faces, qui eux-mêmes se découpent en plusieurs parties (au minimum 2). Généralement, un élément scénaristique comme une nouvelle de dernière minute, une révélation vient conclure une partie du scénario ou un jour du procès et de nouvelles possibilités se débloquent dès lors. Ici, c’est souvent une nouvelle phase d’enquête qui permet d’approfondir ou de découvrir de nouveaux indices utiles pour poursuivre et terminer le procès.
Phoenix Wright sur GBA comptait 4 voltes-faces mais la version DS en a ajouté un 5e, avec des fonctions propre à la console comme interagir avec des indices au moyen du stylet et de l’écran tactile. Ce procédé sera ensuite repris dans les opus pensés directement pour cette console bien que chaque jeu de la saga amène tout de même de nouvelles mécaniques qui complexifient et améliorent l’expérience de jeu.
Pour finir, Phoenix Wright a permis l’essor de tout un genre vidéoludique et lancé une saga qui passionne encore aujourd’hui de nombreux joueurs et joueuses qui attendent impatiemment le 7e opus annoncé par l’éditeur Capcom depuis quelques années déjà. Nous vous proposions ici une rétrsopective sur la saga à l’occasion de la sortie de la trilogie Ace Attorney sur consoles next-gen en 2019.
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Kingdom Hearts 2
Edité par Square Enix, sorti le 29 septembre 2006 sur PlayStation 2 (souvenir d’Albine)
J’ai 30 ans, mes amis ont cassé leur tirelire pour m’offrir une console de jeu pour mon anniversaire. Une PS2. J’ai quelques jeux, mais pas encore LE jeu. Vous savez comment ça se passe. Il suffit d’un passage chez Micromania.
J’ai enchainé Kingdom Hearts 2 dès que j’ai eu terminé le 1 parce que l’histoire, aussi folle soit-elle, m’avait totalement convaincue. Et dès les premières notes de la voix de Hikaru UTADA, je savais que je m’embarquais pour un voyage encore plus épique que le premier. Parce que j’aimais Disney d’amour et que mes découvertes de Final Fantasy m’enchantaient malgré leur difficulté, j’ai plongé la tête la première dans ce cross-over.
Donnez-moi un personnage aussi gentil et avenant que Sora, un système de combat simple à prendre en main et des antagonistes charismatiques, saupoudrez le tout d’une musique entêtante, et vous m’avez perdue. J’ai fait bien plus que les 40-50 heures de jeu requises pour le terminer et je recommencerai volontiers pour passer du temps avec toute cette galerie de personnages.
KH2 avait un truc magique que je chéris à chaque fois que j’y repense.
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Professeur Layton et l’Etrange Village
Edité par Nintendo et Level-5, sorti le 7 novembre 2008 sur Nintendo DS (souvenir de Rin)
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré les jeux de puzzle et d’énigmes en tous genres. J’ai aussi un faible pour les jeux d’aventure, de plateforme et feel good, mais les énigmes ont toujours su me séduire. Alors quand un jeu vidéo japonais du nom de Professeur Layton et l’Etrange Village est arrivé en France, je ne suis pas passée à côté et cela a été le début d’une longue histoire d’amour avec cette licence. A l’époque, j’étais lycéenne et jouais surtout à la Nintendo DS pour Pokémon et Mario. Mais l’univers du Professeur Layton a été un véritable coup de cœur et une révélation.
Si vous êtes sensibles à la patte graphique d’un jeu, vous ne pourrez être que séduits par celle du Professeur Layton. Derrière des dessins volontairement enfantins, simplistes et parfois caricaturaux, on retrouve une finesse dans la création de chaque personnage et notamment des décors. Les couleurs sont agréables et on s’immerge immédiatement dans l’univers du gentleman londonien.
En effet, pour reposer les bases de l’histoire, Le Professeur Hershel Layton est un célèbre archéologue et détective à ses heures. Il est réputé pour avoir un talent dans la résolution d’énigmes. Cette réputation l’amène, avec son assistant Luke, jusqu’au village de Saint-Mystère, où il a été convié par Diana Reinhold. Son défunt époux a rédigé son testament sous forme d’énigme, informant qu’il faudrait trouver la Pomme d’Or cachée dans le village pour hériter de sa fortune. Layton et Luke vont donc y mener l’enquête en interrogeant ses habitants aussi mystérieux que l’endroit où ils vivent. Ce que j’ai immédiatement apprécié dans le jeu est que les énigmes sont directement intégrées au scénario. Elles ne sont pas posées là sans raison : entre celles qui sont cachées dans le décor et celles que les habitants vous proposent en échange de renseignements pour vous faire avancer dans l’intrigue, on prend un véritable plaisir à tout résoudre. De plus, on dispose d’indices en cas de blocage, mais les plus impliqués voudront tout résoudre eux-mêmes. Il s’agit aussi d’un jeu où on fouille sur l’écran pour trouver des pièces SOS (pour payer les indices), des énigmes et d’autres informations.
Un autre point fort qui fait que je suis vite devenue accro était l’ambiance : la musique est envoûtante et permet de se plonger au cœur de l’univers en ayant l’impression de mener l’enquête soi-même. Des années plus tard, j’écoute encore parfois la bande originale en boucle pour me rappeler les bons souvenirs. De plus, le scénario est original, on se prend à vouloir deviner le fin mot de l’histoire et on en ressort surpris (en tout cas si vous êtes bon public comme moi, je n’ai rien vu venir). Puis l’ambiance londonienne a rapidement su me séduire, moi qui adore cette capitale. Enfin, l’humour omniprésent mais bien dosé permet de passer un bon moment dans le jeu, notamment à travers les noms à base de jeux de mots des personnages.
Les cinématiques du jeu sont époustouflantes. Les doublages français sont très bons, et la version japonaise tout aussi sympathique. Je suis vraiment fan de l’univers créé, et l’évolution des personnages, leurs relations, tout est bien pensé. Et comme il y a eu plusieurs opus, cette évolution s’est étendue aux autres jeux (6 au total avec le Professeur Layton en tant que personnage principal). Un film basé sur le jeu a même été produit, où on retrouve tout ce qui fait l’ambiance si spéciale de la licence Layton.
En dehors de la trame principale, on a aussi accès à des mini-jeux qui permettent de faire une pause et de reposer ses méninges. Car il faut l’avouer, si certaines énigmes sont simples comme bonjour, d’autres vous donnent du fil à retordre… On pouvait aussi débloquer des enquêtes bonus et c’était toujours très réussi. Vous l’aurez compris, je suis tombée amoureuse de l’univers Layton, si bien que j’ai dévoré les 5 autres jeux (je suis encore en train de finir le 6ème car je me suis mise comme challenge d’y jouer… en japonais !) et j’ai même commencé la version Switch, mettant cette fois la fille du Professeur au centre des projecteurs.
Si vous n’y avez jamais joué, lancez-vous, vous ne serez que ravis de l’investissement.
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Aladdin
Sorti le 21 novembre 1993 sur Super Nintendo, édité par Capcom (souvenir de Paul)
Bienvenue mon amiiiii ! Nous voilà dans la magnifique cité d’Agrabah où les studios Disney viennent de produire l’un de ses plus groooos succès animés de tous les temps : Aladdin. Et comme nous sommes en 1992, il est tout à fait logique que cette réussite d’animation ait le droit à son édition sur console… Sur la Super Nintendo, qui est LA console du moment (team #bouhlamegadrivecestnul). Nintendo en fait même un produit d’appel en proposant un combo console + cartouche.
C’est ainsi que je découvre l’univers vidéo ludique de salon : plus besoin d’attendre que l’on me prête un jeu électronique ou que je puisse dépenser mes 10 francs hebdomadaires sur Street Fighter ou Final Fight… C’est à moi et je vais pouvoir y jouer jusqu’à plus soif. Ou presque parce qu’à l’époque, en ce Noël 1992 pour être plus précis, ma famille est unanime : les jeux vidéo, il faut s’en méfier.
Qu’à cela ne tienne : avec la complicité de ma petite sœur transformée en éclaireuse, je vais jouer sans m’arrêter ou presque et découvrir les délices, et les enfers, de ce jeu de plate-forme.
Aladdin c’est ce voleur au grand cœur qui va tomber amoureux de Jasmine, fille du sultan de la ville d’Agrabah. Mais un simple voleur ça n’épouse pas la fille du Sultan, qui n’a d’ailleurs pas son mot à dire sur ce choix. On ajoute Jafar, le vizir du sultan qui souhaite plus que tout s’emparer du pouvoir et un génie qui peut exhausser trois vœux… et c’est parti pour l’aventure !
Comme toute adaptation de film, le jeu en reprend les différentes séquences avec tous les personnages de l’histoire. Nous suivons donc Aladdin dans les rues d’Agrabah, où vous bondissez de toit en toit, sur les échoppes aussi, en évitant les gardes royaux, en ramassant des diamants, des pommes à balancer sur les ennemis, des victuailles pour recharger la barre de vie, etc.
Si les décors n’ont rien de mémorables, les saltos et l’animation du bandit est diablement réussie et vos acrobaties ne seront pas sans rappeler un certain Assasin’s Creed. Puis suivent les couloirs du palais royal et d’autres lieux emblématiques comme la célèbre caverne aux merveilles… et sa P****N de séquence en tapis volant. Le seul moment crispant du jeu (pour le jeune joueur néophyte que j’étais en tout cas, ce fut un cauchemar) mais le reste du soft déploie un excellent gameplay.
Le seul vrai défaut est de ne pas avoir pu en profiter plus car il ne me faudra que 4 jours, alors que je découvre la console et que je ruse pour pouvoir jouer en mode planqué, pour boucler le jeu. Une douzaine d’heure quoi, quinze grand max. Mais cela reste un souvenir inoubliable.
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Ainsi se termine notre deuxième session de souvenirs rétro de l’équipe, qui vient conclure cette année 2022. Nous vous souhaitons une bonne fin d’année et on vous dit au mois prochain pour un nouveau retour en arrière dans l’histoire du jeu vidéo japonais !
Article intéressant, j’ai bien aimé cette pagination alternée même si plus habitué à ça sur PC . En tout cas les jeux cités sont très bons. Bonne continuation, et au plaisir de continuer à vous lire en 2023
Merci !