Les recettes légendaires de Dragon Ball : mange-les comme Goku !
Amateurs de bonne cuisine ou fans de Dragon Ball, soyez prêts à recevoir ce livre qui débarque d’une galaxie lointaine ! Thibaud Villanova vous propose un véritable voyage gustatif avec vos personnages préférés de la célèbre série de Akira TORIYAMA. Ramen, curry, daifuku, smoothie… N’attendez plus pour vous lancer dans un défi culinaire sur le thème des boules de cristal !
À travers une chronologie bien précise, accompagnée de belles illustrations, ce livre de recettes ne devrait pas vous laisser de marbre. Retour sur le parcours et la mise en place du projet avec l’auteur lui-même !
Un livre de recettes légendaires !
Peut-être connaissez-vous Thibaud Villanova pour sa chaîne youtube, ou alors directement pour ses livres ? Si ce n’est pas encore le cas, on vous en dit plus plus loin dans cet article dans notre entretien privé avec l’auteur… Mais présentons d’abord ce livre de cuisine Les recettes légendaires de Dragon Ball aux éditions Glénat, bien entendu ! [Glénat est aussi l’éditeur du manga Dragon Ball en France]
Si vous êtes un féru de Dragon Ball, alors peut-être avez-vous remarqué que régulièrement Goku (souvent) et sa bande (un peu) s’en donnent à cœur joie niveau nourriture entre plusieurs aventures. N’avez-vous jamais voulu déguster un bon repas en leur compagnie, un plat tiré de CET univers ? Car c’est ce que vous propose ici cet ouvrage. Il est enrichi d’illustrations et de photographies qui vous permettront de savoir où vous diriger sans difficulté, dans ce livre qui suit la chronologie de la série (DB, DBZ et enfin DB Super). Ici, la part belle est réellement donnée à chaque recette. Ces dernières sont en effet accompagnées de l’image usuelle qui leur correspond et de petits ajouts venus tout droit de l’animé de Dragon Ball : un bon moyen de retrouver tous les personnages un peu partout dans le livre.
Par son format, et sa proposition, vous retrouverez donc un beau livre aux allures d’artbook : 176 pages en format 185 x 265 mm au prix de 20 euros, somme raisonnable pour ce genre d’ouvrage. Pour autant, il s’agit bien d’un livre focalisé sur la cuisine. Un plaisir doublement partagé, donc, surtout au vu de la qualité des illustrations choisies. Quant aux photographies, si vous n’avez pas faim en les regardant, on ne peut plus rien pour vous ! Via des explications claires et précises, et grâce à des lexiques présents à la fin de chaque chapitre, vous pourrez vous familiariser avec les termes culinaires et découvrir des astuces afin de réaliser au mieux les recettes. Des marqueurs sont également là pour indiquer la difficulté d’une recette et surtout le temps qu’elle pourrait vous prendre. La photographie est alors un moyen d’indiquer à quoi cela devrait ressembler mais c’est bien le goût qui prime.
C’est un livre de recettes accessibles à tous, aux cuisiniers amateurs comme aux plus chevronnés, et surtout un bon moyen d’entrer dans l’univers de Dragon Ball. Peut-être même que cela vous donnera l’envie de revoir ou relire la série ?
Thibaud Villanova, cuisinier passionné par la pop-culture !
Journal du Japon : Bonjour Thibaud et merci de nous accorder de ton temps si rare en ce moment !
Pour commencer, pourrais-tu nous en dire un peu plus sur ton parcours, pour ceux qui ne te connaîtraient pas encore ?
Thibaud : Bien sûr. C’est compliqué comme question. Je n’ai pas du tout un parcours qui amène à la cuisine mais qui vient et naît dans la pop-culture. Je suis avant tout un passionné et j’ai commencé dans l’événementiel du jeu vidéo. Il y a 5 ans, j’ai eu l’envie de relier les deux univers, mes deux passions : la gastronomie et la pop-culture. J’avais de très bonnes bases en cuisine, que j’ai raffermi pour pouvoir être cohérent et légitime là-dedans. Donc c’est venu et né de cette façon.
Pourquoi les livres de cuisine et comment est née cette envie de lier cet univers à celui des geek et otaku ?
En fait les livres de cuisine n’était pas la première idée. La première idée c’était de faire une émission de cuisine proche de celle de Maïté mais vraiment inspiré par la pop-culture, dans des décors de cinéma et ainsi de suite. À ce moment-là, j’étais responsable adjoint du Dernier Bar avant la Fin du monde à Paris, donc je m’occupais de tout ce qui n’était pas servir des bières. Je passais ma vie à organiser des tournages pour toutes les personnes qui voulaient tourner dans le lieu qui est un décor de fantasy, de science-fiction et ainsi de suite. Je me suis alors dit qu’on pourrait faire une émission dans un décor sympa, pour montrer que les geek ce n’est pas juste chips-pizza-coca, mais qu’on mange dans ces univers-là, que nos héros mangent aussi et que l’on pourrait s’inspirer de cela. Comme on a eu beaucoup de difficultés à produire et à trouver le financement pour lancer une émission qualitative, on ne l’a pas fait dans un premier temps. Ensuite ce fut le jeu des rencontres, notamment celle avec Nicolas Beaujouan qui est auteur et directeur artistique et qui à cette époque sortait son livre Geek la revanche. Il m’a demandé de faire la soirée de lancement de son livre au Dernier Bar. De fil en aiguille il m’a appris que sa femme travaillait avec Hachette Cuisine, et qu’il pouvait peut-être y avoir quelque chose à faire. On s’est rencontré comme ça. Et les livres sont venus ensuite parce qu’il y avait la matière et je ne voulais pas ne rien faire avec. Comme le premier ouvrage (Gastronogeek, NDLR) a bien fonctionné, l’éditeur m’a recontacté pour des idées supplémentaires et ça s’est lancé de cette façon.
Ce qu’il faut savoir c’est qu’en France le livre a une sorte de pouvoir magique, il te rend crédible et intéressant auprès de tout un tas de personnes qui ne s’intéressent pas à la pop-culture. Tout le monde a cet imaginaire de se dire que faire un livre c’est extrêmement dur alors qu’en fait c’est comme tout, faire des choses c’est dur, il faut juste les faire et avoir la passion pour les réaliser. Comme j’avais pensé de nombreux livres sur des thèmes précis, au fur et à mesure l’idée d’en faire un sur Dragon Ball a fait son chemin, et voilà.
Qu’est-ce que tu apprécies dans la cuisine japonaise en général ?
Ce que j’apprécie, ce sont deux choses : le spectre culinaire est dingue. Dans la cuisine japonaise, tu as l’excellence comme dans tout, car tout artisanat pratiqué par les maîtres au Japon est un artisanat d’excellence donc la cuisine va aussi là-dedans. Exemple avec Jiro Ono, le grand maître sushi qui va préparer un sushi à 120 000 yen au menu et qui sera le meilleur sushi de tous les temps alors qu’à côté tu auras la pire junk food avec des personnes qui feront des karaage qu’ils mettront dans des wraps pas terribles avec de la sauce et ça sera bon. C’est ça que j’aime dans la gastronomie japonaise.
Mais j’aime aussi le souci du geste, et la gastronomie un peu plus élevée on va dire, que ce soit une cuisine soustractive. En France, on a plutôt une cuisine additive, on cherche à ajouter des saveurs avec des sauces avec plein de goût etc. Au Japon, la pureté de l’ingrédient principal, c’est ce qui fait la valeur du plat… et là encore je parle d’un certain type de cuisine. Après j’adore la confort food : j’adore le curry, j’en fait plusieurs fois par mois à ma femme et mon fils, je suis dingue de ramen aussi. La dernière fois justement j’ai pu testé le nouveau restaurant de Kodawari Ramen sur le marché de Tsukiji, où j’ai mangé les meilleurs ramen de ma vie. Après je pars au Japon bientôt, je changerai peut-être d’avis d’ici là (Rires). La cuisine japonaise fait voyager, elle est aussi majoritairement pensée pour être bonne pour la santé. C’est un peu comme chez nous.
Historiquement parlant, la cuisine moderne française découle d’un haut intérêt par nos grands chef cuisiniers (Bocuse, Loiseau…), dans les années 70, partis au Japon apprendre. Et ce qui est intéressant c’est l’intérêt de la gastronomie de l’autre : nombre de Japonais viennent en France pour apprendre la gastronomie française, résultat il y a un véritable passé entre les deux cultures et c’est pourquoi on peut se retrouver sur la cuisson d’un pot au feu ou d’un shabu shabu par exemple.
Pourquoi avoir voulu faire absolument un livre de recettes sur Dragon Ball ?
Tu as déjà regardé Dragon Ball ? Est-ce qu’il y a un épisode où ils ne mangent pas ?
Non, c’est vrai.
Eh bien voilà ! Mise à part les épisodes où ils se battent, 95% du temps passé hors tournoi et bataille, possède une partie narrative qui tourne souvent autour de la nourriture. Goku est quasiment indestructible enfant, les rares fois où il se fait avoir c’est quand il a le ventre vide. La rencontre avec Yajirobe se passe sur un poisson grillé qu’il se fait dérober, le fait que Beerus dans Dragon Ball Super est dingue de gastronomie et qu’il soit capable d’épargner une planète pour son patrimoine culinaire… C’est pour tout ça.
Mais j’ai également grandi avec Dragon Ball et j’ai toujours trouvé dingue les quantités de nourritures qu’ils étaient capable d’avaler. Tout le prix gagné après le championnat d’arts martiaux est passé dans la note du restaurant, ils sont contents car ils sont riches mais une fois qu’il faut payer ce que Goku a mangé, ils font la tronche. Cela m’a accompagné même dans le développement de mon projet global.
Ensuite, on avait un contact chez Glénat : on connaissait quelqu’un qui venait d’y arriver, et qui m’a apporté beaucoup humainement parlant et professionnellement. Je lui ai suggéré mon projet car on estimait qu’on était cohérent après Gastronogeek et qu’on avait développé un savoir-faire pour proposer cet ouvrage et être carré. Comme on avait travaillé sur Star Wars auparavant, on s’était dit qu’on possédait une belle licence qui pouvait soutenir notre demande. Et en effet, cela a plu à Glénat, à Toei Animation et notre projet est né ainsi.
Quel est ton rapport avec cette série au-delà la nourriture ? Qu’est-ce que tu aimes en elle ?
Ce que j’aime, poliment entre nous, c’est qu’ils se battent. Petit c’est ce qui me plaisait. Moi je prends souvent l’exemple que la nourriture sert dans la pop-culture et dans les sujets de pop-culture pour crédibiliser et légitimer un univers. Par exemple pour Games of Thrones, toutes les scènes où on mange, quelqu’un se fait éventrer, un plot se développe. Les noces pourpres c’est à table par exemple…
Dragon Ball, quand tu le regardes avec mon œil, tu te rends compte très tôt que la nourriture il y en a partout, dans tous les épisodes. Akira TORIYAMA, tu sens qu’il est gourmand. En dehors du fait qu’il a nommé ses personnages avec des noms de légumes ou de plats ou de boissons. Il y a un lien évident.
Comment s’est passée justement la réalisation de l’ouvrage : choix des recettes, mise en place, etc ?
Le choix des recettes est arrivé avec quelque chose que je n’avais pas fait depuis mon adolescence, c’est-à-dire un binge-watching complet de la série. Dragon Ball, Dragon Ball Z puis Super qui était alors en cours. J’ai eu accès à toute la matière aussi fourni par la Toei animation dont les chartes. Les lecteurs le verront mais il y a de nombreuses planches qui n’ont pas été utilisées depuis des années qu’on a ressorti avec ma directrice artistique pour agrémenter le livre. On a pu avoir accès à tout. Ceci c’est pour la base du travail et comment créer la recette. Ensuite j’ai fait une proposition de recettes à Glénat et la Toei Animation – car tout est validé par le Japon – avec quel épisode, de quoi ça parle, avec une justification comme quoi je souhaite faire cette recette parce qu’il se passe ceci, qu’on la voit, parce qu’on en parle, mais aussi avec quel ingrédient je souhaite la proposer, etc.
Tout est passé en validation comme c’est un travail sous licence, une fois validé on a pu faire la suite avec la sélection des images et la mise en page.
Les Japonais ont donc bien eu un regard sur la question chaque fois ?
C’est un peu pareil pour toutes les licences. En ce qui concerne la validation, c’était à chaque étape : chaque mot, tout était traduit pour que ce soit validé. Un livre à 6 mains presque donc : Glénat, les miennes et la Toei Animation. Davantage Glénat et moi, mais le Japon était derrière oui.
L’ouvrage est finalement un mix entre un livre de recettes et un artbook au vu du nombres d’illustrations présentes. Comment s’est passé le travail de sélection ?
C’est une question qu’il faut poser à ma directrice artistique car si on m’avait écouté, l’ouvrage ferait 600 pages et on aurait tout imprimé (Rires). En fait on a d’abord fait les pages d’ouverture car le livre est séparé en trois chapitres principaux qui sont Dragon Ball, Dragon Ball Z et Dragon Ball Super. Ensuite à l’intérieur de chaque chapitre on suit la chronologie de l’aventure. Les plats sont présentés dans l’ordre dans lesquels on les découvre dans la saga.
Les planches on s’en est beaucoup servi pour faire des respirations entre les chapitres, donc typiquement chaque planche utilisée va servir à indiquer dans quel arc on se trouve, et à l’intérieur les planches vont dire qu’on est sur l’arc Namek, l’arc Boubou etc. On essaie de rythmer le livre avec ces illustrations-là. On a tel personnage dans tel arc, donc on a cherché l’illustration en ce sens.
Un retour de TORIYAMA lui-même peut-être sur le sujet ?
Je n’en sais rien. La première chose que j’ai demandé c’est une préface de sa part pour ne rien regretter : je ne l’ai pas eu. Néanmoins je ne sais pas comment cela fonctionne chez eux, donc j’aurai bien voulu mais je ne sais pas s’il y en a eu.
En revanche, par rapport à la couverture elle est dessinée par les studios d’animation, elle a été faite directement au Japon et on peut les remercier. Car les plats représentés avec Goku sont les plats tirés des recettes du livre même, donc ils l’ont potassé et ont réalisé une belle image.
Cette fois, tu sors totalement de la collection Gastronogeek et tu changes d’éditeur, pour signer le livre en ton nom. Quelles sont tes impressions face à cette émancipation ?
En fait, les licences précédentes je les ai travaillés avec Hachette (Star Wars, Astérix, Assassin’s Creed…) et ce ne sont jamais des Gastronogeek. Ils sont pensés par moi, conçus comme un Gastronogeek mais c’est en réalité toujours adapté à la licence. La mise en page est donc totalement différente ici, plus Dragon Ball.
Le changement d’éditeur s’est fait simplement : je suis allé voir Hachette pour parler de ce livre, mais comme il n’avait pas la licence, c’était impossible et j’ai donc été voir Glénat. Par respect, je suis passé par Hachette d’abord et ensuite seulement Glénat. Je suis toujours contractuel chez Hachette sur les Gastronogeek, en dehors d’être mon nom d’auteur, et en dehors d’être une marque, c’est une marque cédée pour le publishing à Hachette. Quand on fait un livre sous licence, jamais je ne demanderai à ce que Gastronogeek soit mis au même niveau qu’un Dragon Ball, Gastronogeek n’existe que parce que Dragon Ball existe et car on met toujours en avant la licence principale. Donc tout va bien, j’espère pouvoir continuer à travailler avec les deux éditeurs.
L’envie de faire des livres de recettes inspirées par la Pop-Culture remontent à quand pour toi ? La première fois où tu as ressenti l’envie d’en faire ?
Enfant, je rêvais d’être un grand chef cuisinier et de faire des livres de recettes, puis j’ai passé 25 ans à me dire que cela ne pourrait pas être possible et aujourd’hui j’en suis là.
Être un, voir LE, représentant de la communauté culinaire geek ça veut dire quelque chose pour toi, ou pas du tout ?
Je trouve ça chouette car en plus je suis gros, je pourrais être attaqué sur ce terrain-là, ce qui m’arrive parfois mais je suis content d’avoir créé ce concept-là. Je suis content de l’avoir développé ainsi et d’être très suivi. Quand je vais en convention je me rends compte de l’accueil chaleureux que les gens ont pour moi, que la communauté se développe sur les réseaux sociaux. Pour moi c’est juste un marqueur de quantité mais je pense que nombre de personnes connaissent mes livres sans être abonné à ma chaîne Youtube et vice-versa, c’est vraiment protéiforme. Je suis fier et reconnaissant que d’autres personnes que ma femme et ma mère m’aient suivi dans cette aventure.
Quand j’ai débuté Gastronogeek je ne pensais pas que ça irait si loin, qu’il y en aurait d’autres ni qu’il m’arriverait ce qu’il m’arrive actuellement. J’essaie de rester droit dans mes pompes, de ne pas oublier pourquoi je fais les choses : pour qui, pour moi et la communauté mais vraiment pour moi car cela doit me plaire avant tout et non parce qu’on me l’aurait demandé, etc.
Et ce que cela me fait ? J’ai de moins en moins peur face à mes journées de boulot, par rapport à mes premières années de free-lance, la motivation n’est pas la même. Quand je me mets face à un projet, il y a plusieurs choses qui se passent. Quand je me suis retrouvé face à Dragon Ball c’était l’immensité de l’univers, pour le public français, moi et le monde otaku, et à côté tous les gens qui t’attendent au tournant : les positifs et ceux qui veulent te descendre, eux je les ai toujours en tête car c’est bon comme énergie. Je prends ça et après j’essaie de faire en sorte de respecter tout le monde et donner le meilleur.
D’autres projets pour la suite ? On sait qu’il y a déjà eu un livre de recettes tirés d’autres univers comme One Piece par exemple, mais d’autres mangas en vue ?
Peut-être mais je ne peux pas en parler. Il y a des réflexions et discussion en cours mais je suis superstitieux donc je ne préfère pas en parler pour l’instant.
Petit test culinaire rapide pour finir notre interview…
Parmi tes recettes, laquelle te représenterait le plus ?
Le curry de maman présent dans le livre de recettes Dragon Ball. Je me suis trouvé sur cette recette-là : je me suis rendu compte que je pouvais la faire de 20 manières différentes et lui donner 20 saveurs différentes, et de tout ce que je peux cuisiner à mon enfant c’est ce qu’il préfère. Et je trouve ça génial ce côté filial.
Laquelle préfères-tu le plus réaliser ?
J’aime beaucoup faire le katsudon de My Hero Academia, un katsudon classique. J’adore le katsudon qui est très food porn, très bon, avec de nombreuses textures. Moi je fais mariner le porc dans du miso blanc avant de le faire pané, j’ai mon petit truc donc c’est ce plat.
Celle que tu adores manger ?
Tout ce qui est à base de mochi. Je pourrai me nourrir intégralement de mochi (Rires). J’en ai réalisé dans le livre Dragon Ball comme le daifuku des lapins, réalisés de façon traditionnels. Tu vois aussi l’un des dieux de la création manger des mochi à l’anko. Donc j’adore les mochi.
Un dernier message à faire passer ?
Je lève les bras en genkidama et j’espère retrouver les lecteurs derrière leurs bouquins et leurs fourneaux. Que je les retrouverais sur les réseaux sociaux pour me dire ce qu’ils en ont pensé et qu’ils m’apporteront leur énergie.
Merci beaucoup !
On remercie les éditions Glénat et Thibaud Villanova de nous avoir accordé de leur temps. Retrouvez le livre Les recettes légendaires de Dragon Ball en librairie, et n’hésitez pas à vous tenir au courant de l’actualité de l’auteur via ses réseaux sociaux : Twitter, instagram et Youtube.
Je me suis procuré cet ouvrage en librairie. J’en suis content, tellement que je souhaite aussi en offrir un exemplaire en italien à un collègue de ce pays, qui parle un tout petit peu français mais malheureusement pas suffisamment….Savez-vous déjà si un éditeur a traduit ce livre dans cette langue ?
Merci de votre réponse.
Bonjour, j’ai regardé et pour l’instant, il n’y a toujours pas d’éditeur qui a traduit ce livre.