Chroniques Hentai : lovely monster girls
Alors que la manipulation génétique pour créer des filles-chats fait toujours autant d’émules dans la sphère otaku, nous allons parler d’un sujet qui connait un engouement certain : les femmes-monstres. Pourquoi fascinent-elles autant ? Quels sont leurs réseaux ? Journal du Japon enquête. Comme à son habitude, notre chronique vous présentera des critiques des ouvrages hentai présents sur le marché, à savoir Secret playing of Raika et Jeux érotiques. Comme à l’accoutumé, les images sont les illustrations et couvertures sont livrées telles quelles sont, donc NSFW et pour un public averti, à bon entendeur.
Une des légendes les plus célèbres de femme-monstre est sûrement celle de méduse, qui, bien que repoussante par sa chevelure de serpent, était avant cela une très belle femme au charme ravageur. Durant la Renaissance, le thème de méduse est même « l’incarnation de l’archétype de la femme fatale : le pouvoir de la femme réside dans son charme érotique, dont elle peut faire mauvais usage, avec la conséquence implicite que toute femme est dangereuse et doit être tenue à distance« , dixit Wikipedia. Une conclusion machiste dont nous ne prendrons bien évidemment pas parti, mais qui montre bien cette dualité danger/érotisme dans la nature même de femmes-monstres. Le même constat pourrait être fait avec Scylla ou encore les sirènes.
Le Japon ayant toujours aimé proposer des personnages anthropomorphes (le Chōjū-giga datant du 12ème siècle) ainsi que cultiver le fantasme du harem, il n’en fallait pas plus pour que les auteurs d’aujourd’hui conjuguent les deux.
The Freak Show
Qu’elles soient vampires, dullahan et oni issues de différents folklores comme on peut en voir dans Freaky Girls et Yûna de la Pension Yuragi, ou simplement anthropomorphe comme dans Monster Musume avec des lamia, harpie et autres centaures, les femmes-monstres sont particulièrement présentes ces dernières années dans les mangas et animé. Les éditeurs français ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, et proposent déjà des succès comme Miss Kobayashi’s Dragon Maid, A Centaur’s Life et Actually, I am….
D’autres best-sellers restent cependant encore à découvrir, à l’exemple de Hitomi-sensei no Hokenshitsu et son infirmière scolaire cyclope, des écolières « sirènes » de Shinkaigyo no Anko-san ou encore Dropkick On My Devil!! qui vient de connaitre une adaptation animée. Outre l’exotisme certain de telles créatures, ce qui séduit particulièrement la culture hentai, c’est les attributs physiques inédits des jeunes filles. L’underground hentai étant déjà constellé de divers fétichismes, associer une femme-araignée au shibari ou l’asphyxiophilie à une femme-serpent n’a alors rien de plus naturel.
S’il n’est bien-sûr pas classé hentai, Monster Musume no iru nichijō actuellement édité par Ototo reste le pur produit d’une culture érotique underground basée sur les femmes-monstres. Le titre, réservé à un public averti, fait plus que flirter avec le ecchi, et les mamelons et vulves quasi apparentes vous feront régulièrement coucou. Le talent de OKAYADO est d’avoir conçu un design dans l’air du temps et de se servir au mieux des particularités de chaque espèce. Loin d’être un simple ecchi-manga, Monster Musume présente des personnages pleins de fraicheur et assume pleinement sa nature érotique pour proposer quelque chose qui va un peu au-delà, et aborde finalement la tolérance et les différences à travers le thème des relations inter-espèces.
Résumé : Il y a trois ans, le gouvernement a révélé que les créatures mythiques ou semi-humaines comme les sirènes ou les slimes existaient. Depuis, des efforts sont faits pour les intégrer à notre population, notamment à travers un système de famille d’accueil. Dans le cadre du programme de rapprochement entre les humains et les Monster Girls, Kimihito Kurusu se voit plus ou moins imposer par la coordinatrice Madame Smith d’héberger Mia, une femme-serpent. Face au caractère impulsif et entreprenant de sa jolie pensionnaire (qui l’a rapidement rebaptisé « Darling »), Kimihito comprend vite combien il va lui être difficile de faire respecter les deux impératifs absolus que sont l’absence de violence entre humains et monstres et surtout, l’interdiction d’avoir des rapports sexuels interraciale. Un challenge difficile, qui plus est lorsque la langoureuse femme-serpent est rejointe par une plantureuse centauresse et une jeune harpie aussi mignonne qu’innocente… et que toutes les trois ont très à cœur d’attirer son attention et de le blottir contre leur corps.
Le manga, débuté en 2012, connait un grand succès et lui vaut d’être adapté en animé dès 2015. Il aura permis à d’autres œuvres sur le même thème de voir le jour, comme les eroges Mamono Musume to no Seikatsu, mettant en scène dans ses différents volets une femme-serpent, une mandragore, et un duo Slime/Scylla (femme-pieuvre), ou Princess X – My Fiancee is a Monster Girl?!.
Vous remarquerez que malgré toutes les créatures qui viennent d’être passées en revue, aucune n’a suscité le sentiment d’avoir affaire à de la zoophilie. Il est en effet important, pour que le fantasme des filles-monstres ne bascule pas dans quelque chose d’autrement plus immoral, de conserver le juste ratio homme/animal. Une fille accoutrée d’oreilles et queue de chat ne choquera personne, même dans une œuvre érotique, car son humanité semble prouvée (même si celle-ci est présentée comme appartenant à une autre espèce que l’Homme). Et c’est justement sur cette ligne que les mangakas vont jouer. À partir de quand une femme-chatte devient-elle une chatte-femme ? Quelle partie de l’anatomie d’un animal peut être implantée sans changer notre regard ?
La liste des titres cités n’est bien-sûr pas exhaustive, alors n’hésitez pas à nous dire en commentaire les autres œuvres de femmes-monstres que vous connaissez, si ce genre vous dérange ou au contraire vous plait, et pourquoi.
Chroniques sous X
Secret playing of Raika par Hiroshi KAJIYAMA
Hot manga
Contenu : Soft old school
Si parmi toutes les publications de Hot manga beaucoup sont passables, il y a des petites perles qui surgissent parfois, et Secret playing of Raika en fait partie. Hiroshi KAJIYAMA a un style proche de celui de Hiroyuki UTATANE (Seraphic Feather) et fleure bon les années 90 avec des personnages longilignes aux formes généreuses, ce qui est assez rare dans les œuvres d’aujourd’hui, hentai ou non. C’est un illustrateur émérite dont vous avez certainement vu le travail sur les jaquettes des jeux Shining Force ou encore Golden Sun, mais ce n’est pas là son travail le plus remarquable.
Hiroshi KAJIYAMA a plusieurs points communs avec un autre grand illustrateur érotique: Tony Taka. Les deux hommes cristallisent à eux seuls les styles typiques du milieu des années 1990 et 2000 dans la pop culture japonaise. Le premier a illustré et chara-designé les jeux de la saga Shining jusqu’à Shining Force III en 1998, et propose en parallèle des doujinshi et artbook érotiques dans un graphisme qui rappelle des animes tels que Slayers. Le second a illustré et chara-designé les jeux de la saga Shining à partir de Shining Tears en 2004, et propose en parallèle des doujinshi et artbook érotiques dans un style très contemporain. Et les deux sont de remarquables illustrateurs !
Pour en revenir au recueil publié chez Hot manga, Raika est à la base un jeu érotique pour PC, sorti en 1994, et illustré par KAJIYAMA. Voulant continuer de faire vivre les personnages qu’il avait créé, il publiera lui-même la suite Raika 2 en 2005 ainsi que plusieurs doujinshi compilés dans ce one shot. Bien que répétitive, la narration des différents chapitres est très bien pensée : le lecteur prend la place d’un joueur des jeux Raika qui participe à des parties de strip-Jan-Ken-Pon avec les héroïnes où seule l’interface des menus est visible. C’est finalement un ouvrage un peu à part dans la carrière de l’auteur, mais qui a le mérite de montrer tout son talent de dessinateur, et d’être une porte d’entrée à son univers.
Des croquis préparatoires sont également disponibles en fin de tome.
Nous vous invitons vivement à faire un tour sur son compte Pixiv pour admirer sa galerie d’illustrations dont voici un avant-goût (et où vous trouverez des femmes-monstres pour rester dans le thème de ce numéro).
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Jeux érotiques par Kazumi AMANO
Hot manga
Contenu : hard, anatomie malmené.
Le tome comporte 3 histoires, mais nous nous intéresserons aux deux histoires principales qui présentent des univers très différents.
Tout d’abord, la première partie de quatre chapitres qui s’intitule sobrement jeux érotiques cache bien son jeu. Sobre, l’ouvrage ne l’est pas du tout, et cette entrée en matière risque de vous dépayser par un double fist-fucking dès les premières pages. Cela a le mérite de donner le ton : ce sera le terrain d’exploration de l’auteur durant tout ce tome. Le protagoniste de cette première histoire, Niimi, éprouve quelques doutes sur sa sexualité depuis que, plus jeune, il a surpris un couple pratiquant le fist-fucking, mais sa camarade de classe Yukiko Ayase (l’action se situe dans un lycée, histoire d’être original) va lui faire accepter son désir à grand renfort de tubes à essai et autre bouteille de 1,5L carrée (parce que ronde ça serait trop simple). Plus que jamais, la relation entre sexualité et mort est étroite avec cette pratique extrême, demandant une certaine pratique et préparation. Dans le cadre de la relation de notre couple, c’est cette dangerosité qui pimente leurs ébats, que ce soit en étant pris en flagrant délit de leur exhibitionnisme, ou dans le cas où une fiole en verre se briserait dans le vagin de Ayase.
Outre cette pratique, le lecteur sera amené à faire d’autres découvertes avec les pénétrations directement dans l’utérus, à l’extérieur du vagin, rien que ça. En effet, lors d’un ébat, Ayase demande à Niimi de faire sortir son utérus par son vagin. Si le prolapsus utérin est davantage une pathologie qu’une pratique sexuelle, Kazumi AMANO se sert de cette altération du corps pour mettre en exergue le fantasme d’un retour intra-utérin très freudien. Et c’est finalement en parfait accord avec le fist déjà pratiqué par les tourtereaux : avec l’un c’est l’actif qui retourne dans l’utérus via ses mains (ou qui voit directement à l’intérieur grâce aux objets transparents insérés), l’autre permet au passif de mettre à disposition ce même nid maternel pour que le partenaire s’en serve comme d’un Tenga (objet masturbatoire pour homme, typiquement japonais). Cet acte sexuel lors d’un prolapsus est alors avant tout symbolique (nos recherches ne nous ont pas permis de savoir si c’était une pratique à part entière), l’auteur ayant enjolivé en dessin le prolapsus, qui est bien moins glamour dans la vraie vie. Le trait de Kazumi AMANO s’accorde d’ailleurs très bien avec ce genre de sujet car il dispose d’un petit grain de folie, où les ahegao trouvent naturellement leur place.
L’autre partie, appelée Les valkyries soumises, compte cinq chapitres. Si cette fois-ci l’auteur nous épargne les utérus apparents, c’est pour aller plus loin dans ce récit en pays nordique. La quête de vengeance de Démius l’amènera à combattre l’armée de Valkyrie à grand renfort de trolls hauts de plusieurs mètres. Commence alors la surenchère initiée par le fist fucking, via ces trolls proportionnellement membrés, qui exhibera au lecteur les ventres déformés des jeunes femmes par des phallus anormalement grands pour elles. Le livre se clôt par l’intervention d’Odin, transformé en titan (parodiant au passage le titan colossal de Shingeki no Kyojin), et enfilant littéralement son ennemie comme une poupée de part en part. Là encore, le fantasme de transpercer son partenaire est mis en avant, au sens propre dans cette nouvelle de type fantasy, non pas avec un avant-bras, mais plus primairement avec un pénis.
Malgré le portrait ainsi dressé, le mangaka introduit un questionnement sur la normalité avec sa première histoire, et se permet de terminer la seconde en oubliant le sexe et en revenant sur la mythologie nordique et ses origines. La postface nous ferait presque oublier ce que l’on vient de voir les pages précédentes.
Monster Musume © 2012 OKAYADO published by TOKUMA SHOTEN PUBLISHING CO., LTD.,Tokyo.
Shinkaigyo no Anko-san ©犬犬/COMICメテオ
Dropkick On My Devil!! ©ユキヲ・COMICメテオ/邪神ちゃんドロップキック製作委員会
Miss Kobayashi’s Dragon Maid ©クール教信者・双葉社/ドラゴン生活向上委員会
Secret playing of raika et @kajiyama_ © Half Quarter’s – Hiroshi KAJIYAMA all rights reserved
Ouaaiii ! une nouvelle chronique hentai ! Un grand merci à vous pour votre persévérance, et joyeux 2ième Anniversaire !!
« la conséquence implicite que toute femme est dangereuse et doit être tenue à distance […] qui montre bien cette dualité danger/érotisme dans la nature même de femmes-monstres. »
Bien vu ! « La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide, / Sans rire s’adorant et s’aimant sans dégoût ; » comme dirait le poète. Finalement on pourrait croire que le sujet qui nous amène traite l’image de la femme d’une façon peu glorieuse. Vouloir représenter une femme en monstre, en monstre ! , montre bien au moins un peu la mauvaise image qu’on peut en avoir. Mais continu le poète dans la même strophe, « L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, / Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout ; ». Pas la peine de prendre ici des gants avec les féministes et les divers moralisateurs de papiers mâchés, car si la représentation de la femme en « monstre » rabaisserait celle-ci, elle placerait alors l’homme qui l’apprécie- en esprit ou en onanisme – encore plus bas.
La partie sur les mangas/animés érotiques ou non avec des femmes-monstres, suivie des deux chroniques de Hot Manga, est assez instructive. J’avais un peu oublié des œuvres comme « Monster Musume », et j’avais pas encore commandé les derniers Hot Manga ; erreur corrigée !
En revanche elle montre aussi la limite du catalogue français de terme de Hentai. Il n’y a, si je ne m’abuse, aucun manga dans les « 100% Sans Interdits » ou les « Hot Manga » avec des monstres girls. Il y en a un outre-Atlantique, chez Fakku, « Does This Strange Body Please You? » de Z-Ton ; qui est excellent, et donne un très bon aperçu de ce qui se fait au Japon, puisque ce M. Z-Ton est un habitué des monstrers girls et a publié régulièrement dans les 8 volumes du mag’ « Bessatsu Comic Unreal Monster Musume Paradise » qui été en activité il y a quelques années.
Vous parlez de manga non paru en France dans cette chronique, alors pourquoi ne parler directement de hentai non paru en France, ou de Fakku ? Ouai je sais je suis chiant avec ça, mais parler de Hentai en restant sur la France c’est comme … chercher à connaître la gastronomie japonaise en allant dans des sushi shop ! ^^
« aucune n’a suscité le sentiment d’avoir affaire à de la zoophilie » Hmmm … après vous n’avez parlé que d’œuvres érotiques jusqu’à présent, et je me demande si avec des œuvres pornographiques ce n’est pas un peu différent. L’érotisme ne montre pas directement la copulation – par définition , mais en voyant la pénétration d’un phallus humain dans le vagin à moitié équin d’une centaure, votre sentiment à ce sujet pourrait changer.
Car comme vous le révélez, la limite est floue, ce qui permet tout un tas de représentations à essayer ! Ca offre au lecteur un terrain d’exploration qu’il ne trouvera pas en dehors du manga hentai. C’est je pense à peu près la même chose avec les « gender bender », c’est-à-dire les divers futanari, trap, et autre floue de la distinction des genres. Peut-être le prochain sujet des chronique hentai ? ^^
« À partir de quand une femme-chatte devient-elle une chatte-femme ? Quelle partie de l’anatomie d’un animal peut être implantée sans changer notre regard ? » Excellente question ! On peut se risquer à une première réponse peut-être : si elle a toujours une forme humaine, avec un visage, des bras et jambes, alors c’est une « femme monstre »; si ça commence à avoir des pattes et divers excroissances, alors c’est plutôt un « monstre femelle » (et plus ça a de caractéristiques animales/monstrueuses, et moins c’est humain). Et définitivement, si ça a un vagin inhumain, c’est du côté des « monstres femmes », voire au-delà (c’est-à-dire dans l’animalité simple). A noté que ce cas de figure est très rare.
Bon en vérité, c’est pas si simple mais c’est un bon point de départ. Imaginez ça : une nana avec de vraies oreilles et une vraie queue de chat. Maintenant imaginez ça : une nana avec des pattes de chats, en plus des oreilles et de la queue. Ouaip, y’a une grosse diff’ ! C’est là qu’on s’aperçoit que y’a une différence par rapport au choix des animaux. Cet exemple de la femme chatte avec des pattes de chat n’existe pas dans le manga hentai (à ma connaissance), alors que la femme cheval avec des pattes de cheval existe bel et bien).
Pour vous faire une idée par vous-même d’où placer la frontière, je vous propose d’essayer ça, dans l’ordre du plus monstrueux/animal, au plus humain :
– la compilations des « Mare Holic » du groupe Mayoineko => plus proche de la frontière zoophile, avec basiquement des animaux qui ont des réactions humaines et/ou qui peuvent parler
– « Limb Legion » de Z-ton => une monster girl avec seulement un vagin humain et un visage à moitié humain /&/ « Cerea’s H Day » de Orange Bull => une parodie de « Monster Musume » avec une centaure dont le vagin ne semble peut-être pas complètement humain
– n’importe quel chapitres de Horitomo, qui publie dans le célèbre Comic Unreal => du monster girl classique, avec toujours quelques membres humains pour accompagner les divers excroissances, voire plus de parties humaines qu’animales.
– « Harahara Heroine Fan Kanshasai » de Pish Lover => on a une 100% humaine mais qui va faire quelque choses de plutôt monstrueux, et une « demon girl », c’est-à-dire ce qui ressemble à une humaine avec juste des cornes en plus
– l’excellente série des « Mizuryu Kei Land » => on y retrouve quelques oreilles et queues, qui sont des accessoires utilisés par des personnages 100% humaines
Si vous voulez être convaincu qu’il y a des bon manga hentai avec des « monster girls », je vous conseille les 3 « Hyakki Yakou LV » du groupe Hyakki Yakou et le vieux classique « Bondage Fairies » ( et ses suites « Bondage Fairies Extrem », et « New Bondage Fairies ») de Kondom. Enjoy ! 😉
Il est d’ailleurs pas surprenant de constater qu’on trouve plus de version majoritairement humaine de la monster girl – plus proches des goûts « normaux » du plus grand nombre – que de version majoritairement animales – plus proche du « bizarre ». Il est facile de s’en rendre compte : les tags « cat girl » et « demon girl », c’est-à-dire des femmes visuellement humaines avec juste des petites cornes/oreilles et/ou queues en plus, sont bien plus nombreux que le tag « monster girl », c’est-à-dire des femmes avec « un peu plus » d’animal.
Bon j’ai déjà fait un roman, donc je vais vite finir sur une remarque : là on parle des « monster girl » mais il faut aussi prendre en considération les mangas ou les nanas sont des humaines normales mais qui copulent avec des monstres.